L’étranglement manifesté au sein de l’unité donne à la moisson un état torturé. Tous les intervenants conscients de ce moment doivent, dans la mort, consentir à visiter mon sang. Tous les mouvements sont associés au « Je L’aime » pour perdurer, ainsi se fait la moisson. L’inconscient de l’offrande juste est unique, invariable dans la science où la mort doit, dans la Présence, se révéler dans le pouvoir intensifié du verbe convertissant, dans la particule de vie, immortelle et innocente. Les médecins ont cette science, mais l’ont-ils dans la vacuité ?
Nous entrons dans le divisible de l’inconscient pour que la dimension de la forme puisse, dans le mouvement consentant des Mondes, se révéler à l’identité du « Je Suis lumière et paix ». Tous les troubles moteurs de la forme convertissante sont dotés de mauvaises influences par le progrès manifesté envers l’atome premier. Tout ce qui n’est pas respecté par le fruit de la vacuité, entrera dans la maladie et l’infirmité. Dans ces convenances associées à la déviation du juste et bon, l’homme a exagéré. C’est pourquoi, dans ce mouvement, je viens reconduire le bon fruit à la source d’énergie de la mort, pour guérir vos plaies et vos intentions néfastes aux ventres féconds du sacré.
Il est inadmissible de construire une puissance sans nuire à son état. Cessez de vous plaire dans la moisson de la destruction. Le souvenir, dans le service, est indispensable pour tous les Mondes. Ainsi, Je suis.