Les pouvoirs de l’univers sont une offrande permanente de concrétisation. L’exploration de l’univers ne peut rencontrer que le divisible du moment pour définir la vie. C’est ainsi que l’immortalité s’est placée dans l’inconscient des Mondes.
Mais qu’en est-il de la mort ?
Elle est l’âme du divisible qui recrée l’exigence cellulaire et qui, dans le principe premier, se régénère, afin de se développer au travers des mutants, offrant l’instant présent du souvenir.
Les moissons du passé sont inspirées par la genèse des conversions qui dessinent par la mort, la vie. C’est l’expérience de ces états qui t’a conduit à être vivant en conscience, dans le Vivant. Tous les bouleversements cellulaires incarnent le divisible pour que l’œuvre de ce pouvoir soit l’exigence du souvenir dans l’instant du don puissant inconscient.
La mort, la vie sont le juste des moissons de Mère dans son divisible initiatique. Le poids de la pensée est l’illusion du moment qui détermine l’ignorance et ne permet plus à l’inconscient de la vie de soumettre le juste immortel et naturel.
La science créationniste de la loi, déformée par la maladie de l’esprit, est naturellement soumise à des consciences déstabilisées et déstabilisantes pour le Tout et dessinent un état de mort assurée.
Voyez-vous, le bouleversement de tous les instants ne peut être ni possédé, ni manipulé, c’est pourquoi vous marchez à contresens du vent. Croyant avoir l’intelligence du juste vous vous êtes fourvoyés en créant une volonté dissociée du « Je L’aime ».
Alors, reprenez le chemin de la soumission envers la loi juste en laissant couler en vous l’exemple de la vie, qui mute vers d’autres horizons.
Servez vous de la science pour honorer la mort pour la vie
Soyez bénis mes amis, le juste soumet, mais ne condamne jamais.
Que votre esprit soit éclairé.