Jésus Christ est une moisson aimante du juste et bon, c’est une promesse faite à l’humanité pour que le soleil puisse, dans la moisson, se révéler à son identité. Jésus Christ est mort sur la croix pour que l’exemple soit le cœur de la mort, engendrant la vie. Tous les détails de cette crucifixion sont maintenant ici et renouvelés. Chaque univers porte la croix d’olivier et chaque monade est, dans les noces des mémoires, démultipliée dans un divisible recomposé. C’est cela l’exemple de la mort dans l’implosion d’une réalité portant la rencontre à offrir à la moisson la synthèse du « Je Suis vivant ». C’est pour cela que j’émets la vibration, pour honorer le juste et bon. Dans ce contexte spécifique du « Je Suis dans le ventre en gestation » je permets à l’univers de s’expanser dans le don pour honorer l’instant. Mon sang est plein de souvenirs et de raisons, mon sang est l’impulsion électrique du juste et bon, c’est ainsi que se compose le Savoir du juste dans l’intention du moment. La peine, le chagrin, est votre réalité qui ne s’oppose plus au juste, mais à l’impression consciente de l’invertébré qui ne s’est pas encore relevé.
Alors que tu es rempli d’électrons, tu ne fais qu’aggraver la situation en te laissant emporter par ton illusion. Je n’ai pas d’hormones de sagesse, mais je peux dire que la mort doit être visité dans la monade de l’expérience pour que le souvenir se place dans l’ultime de toutes vies, afin de rencontrer la mort comme une amie. Les pieds et les mains liés, vous êtes dominés par un sommeil profond dans lequel, anéantis, vous quittez la vie. Dormir, dormir est la fuite en avant. Dormir, dormir empêche les actions. C’est la moisson qui doit se substituer à une rigueur imposée par le soin du mental pour alimenter la mort dans toutes ses vies.
Merci de m’avoir compris. Je suis la moisson qui enrichit et je vous bénis.