Je suis le cœur de la vie.
Le pouvoir de ma vérité est l’amour. C’est le pieu que vous m’avez enfoncé dans le cœur qui me permet aujourd’hui de voler vers le don de la mort pour la vie. Je suis venu pour que l’inconscient du Tout puissant puisse vibrer dans le maintenant. C’est un long chemin de croix que vous avez posé sur la voie, en pensées et en actes. Vous m’avez giflé et infligé la torture par l’esclavage de la pensée et vous continuez à recomposer la même impression depuis plus de deux mille ans. Vous m’avez laissé sur la croix, mais il ne faut pas oublier que vous la portez depuis de longues années. Vous vous êtes soumis à la souffrance et aux mauvais traitements parce que vous avez idolâtré l’homme crucifié. Il faut, dans le pouvoir, s’extirper de la mauvaise position de votre état, afin de vous élever et construire la paix. Avez-vous cette volonté ? L’exemple de la puissance du sacré est le changement de l’impression de vos vies par l’exemple de la monade unifiée, pour vous conduire à la vérité.
Lumière je suis. Le bouleversement de votre état conscient verra des modifications cellulaires selon le cœur du don. Y a-t-il l’ouverture vers le Savoir ? Cessez de gémir, cessez de pleurer et consentez à vous démunir de votre illusion pour que la moisson soit renouvelée par le don et l’inspire.
Je vous ai dit que je reviendrai, je vous le confirme aujourd’hui.
Dame Blanche sourit et voici ce qu’elle dit :
Mon fils bien-aimé s’est livré pour vous aider, afin que le mouvement soit honoré dans mon ventre. Une meilleure connaissance de soi pourra déclencher dans tous les milieux de votre société une conversion, afin que l’initiation qui est soumise à l’humanité soit enregistrée par le pouvoir du souvenir, aimant le souvenir.
Il est dans la mort, la réalité de l’être qui doit se montrer pour que la force volontaire puisse donner l’exemple de son univers. Je suis la conscience de lumière, honorée par l’esprit de paix je consens à voyager dans la moisson pour vibrer à tout instant en tout ce qui est vivant, y compris votre Soi, évidemment. Me ressentez-vous vibrer dans vos cellules ? Êtes-vous dans la capacité de m’honorer ? Vous me dites souvent que vous m’aimez, mais ce n’est qu’une illusion, car vous ne me montrez aucune intention. L’exemple de la mort est la mémoire fusionnelle de l’être vivant, conscient, aimant et compatissant pour servir la loi de l’évolution. Je vous le dis, mon fils bien-aimé s’est posé dans votre univers, croyez en lui comme il a toujours cru en vous. La moisson est là. Cultivez l’essence de volonté pour que vous puissiez refleurir le jardin de votre Mère. Le Savoir impose le respect ; la mort, l’initiation et le juste, la moisson.
Je vous soumets mes bénédictions. Que vous soyez tous dans la paix, la monade du printemps est don pour tous les mouvements.