Le changement est une réalité à laquelle il faut penser.
Le mouvement de l’offrande est la moisson de la juste pensée qui permet à chacun de s’élever et de savourer la divinité de la mort pour la vie. L’exemple est dans le Savoir de l’incarné vivant dessinant son projet en toutes moissons vivantes dans l’instant. Je suis la juste pensée qui se révèle à tout initié et qui compose en toutes convenances l’esprit de ma paix. J’ai pour mission de vous rencontrer pour saluer le cœur de la vie qui, endormi, doit être révélé à la lumière du Savoir, en don et en conversion.
La première initiation est celle de ne jamais condamner ni figer l’instant. La deuxième initiation sert la loi du pouvoir où la mort est honorée. La dernière initiation est celle que je veux développer. Jésus Christ, par amour fusionnel pour la moisson, est dans la majestueuse énergie de la vie comme un esprit multiple du UN. Ce qui revient à dire que la composition cellulaire du voyageur doit se soumettre à la dictée de l’univers pour croiser celle de mon Père. Rencontrer la mort, c’est se soumettre à sa loi, mais aussi reconstruire la moisson des ventres en consentant à s’expanser, pour que le souvenir soit dans l’éclosion du recommencement. La clé dorée du sacré est l’ivresse de la lumière qui ne condamne jamais. C’est dans cette offrande que l’apprentissage doit s’effectuer pour renouveler le don de l’unité. J’ai voyagé au travers du temps où la lueur de mon cœur est restée dans le sang du divisible. C’est pour cela que la mort est l’ultime de la vie dans son infini. Dans l’essence de la mort, je suis entré pour que l’offrande du sacré puisse se renouveler. Ainsi, les monades reconduites à la moisson sont régénérées pour se livrer entièrement à la volonté du UN.
J’ai pris mes ailes dorées, j’ai continué mon chemin pour mourir dans les lendemains et me retrouver dans le pouvoir de vos reins. J’ai marché sur les chemins de la mort pour m’unir au UN et c’est dans cette volonté que je suis resté pour témoigner du souvenir qui a quitté vos vies. Je me suis placé dans le cœur majestueux de Marie et recommencé en tout infini qui offre en volonté l’espoir de l’unité.
Je suis la Moisson, Nous sommes.