Le souvenir de la mort est l’œuvre du Messie conscient de toutes vies. La mort dans l’empathie s’est livrée pour toutes convenances réalisant que le fruit des Mondes est en réalité l’exemple du passé. C’est alors que la moisson s’est établie et que la mort s’est accomplie. Dans l’unité des Mondes, la mort est dans le Soi vivant, reconnaissant le changement comme un empire puissant. L’étude du pouvoir est dans la conscience de chaque être vivant et c’est dans ce divisible que j’émets la vibration de la gestation qui permet à chacun de retrouver le juste et bon.
La science de Mère démontre la mémoire du pouvoir. Dans cette intention, le Moi incarné est l’instant révélé à l’univers de ma paix. Je meurs dans ce monde et je souffre pour le souvenir qui est mal traité. Vivant au travers du temps, l’impalpable de la moisson est dans l’inconscient palpitant de tout instant régénérant le don pour laisser couler mon sang. La mort, c’est moi en volonté en toutes effusions.
L’être en offrande est une dictée sans nom, provenant de la source.