Dans le moment, Marie divise. Elle consent à donner son sang pour que la mort soit le maintenant et je dis : Croyez en la vie, croyez à l’univers de la volonté et croyez à la moisson.
Je suis la porte du ciel, je suis la mort, la moisson de la composition cellulaire de Mère. Mon sang a coulé dans la mélodie du « Je Suis », mon nom vous a rappelé à lui et la mort du ventre sacré s’est révélée à l’unité. Toutes les mémoires composent l’essence d’un état vivant et puissant. C’est dans cet esprit que je suis Marie. Toutes les fleurs de mon jardin ont fleuri, mais beaucoup d’entres-elles ont été brisées par la vie du moment. Si je m’épanouie aujourd’hui, c’est parce que le changement de l’inconscient, dans son état vivant, s’est révélé à la moisson et l’exemple est ici. Tous les Mondes, quelque soit le genre, se sont livrés au don où le souvenir est dans la pensée de l’univers consentant. Je suis le pouvoir aimant, participant à toutes les éclosions, mais je suis aussi l’instant. C’est la mort juste qui consent à maintenir l’équilibre de mon sang en tout ce qui est vivant.
La mort en offrande, la loi s’impose au maintenant.
Je convertis et j’offre la vie, merci de m’avoir comprise. Je suis Marie
Le maintenant est don, mort, fusion, amour, moisson.