La moisson impliquée dans les Mondes est pour le moment la volonté suprême du souvenir vivant. C’est alors que je dis : la mort du genre est une offrande consentante au sacrifice, pour offrir au cœur de l’univers le juste de Mère. Dans quelques jours, l’offrande de Dieu s’élèvera et participera aux rencontres exemplaires du souvenir. Je suis la mémoire de l’unité en ressemblance dans l’instant à tout ce qui Est. Lumière Je Suis.
Tous les matins, Dieu se souvient ; Tous les soirs, il sert la moisson et dans la journée il reste penché sur le calvaire de ses pieds. Il faut que le juste de la mort puisse s’exécuter dans le moment pour maintenir l’équilibre de la sagesse, en s’appliquant dans la maîtrise de l’instant.
Le maintenant est livré à l’inspire pour dégager les mauvaises pensées. La moisson est la preuve vivante de l’incarné puissant du Tout, révélée par mon sang versé. Le matin est conversion, le soir intention et cette mémoire de l’inconscient ne s’arrête jamais, dans la simplicité de son devoir. Veux-tu m’épouser ? Veux-tu que je viennes te chercher ? Alors, adresse toi à Moi et reconnais le Père volontaire dans ton univers. C’est par ce mouvement adapté à ce qui Est, que l’inconscient se permet d’exulter la puissance des Mondes.
Je suis à présent en mesure de démontrer, par la mort, l’esprit de vie. Tu as encore les pieds palmés, mais viendra le moment où, régénéré, tu te reconnaîtras dans le moi profond de ton impression de changement, en tant qu’incarné missionnaire de paix. Panse tes plaies et régénère toi maintenant, pour que ton mouvement soit interprété comme le lien sacré de toutes créations, renouvelant sa création.
Merci à la mort pour m’avoir conduit dans le Savoir réel de sa moisson. Bénédictions, nous vous aimons.