La mort est dans la conscience de tout être vivant. En tant que voyageur en volonté, le souffle émerge du Savoir immortel, le souvenir émancipe le « Je Suis » et lui permet d’accéder à la moisson pour vivre en paix.
L’exode des semences a commencé. La mort se nommera rencontre. Le divisible de toute immensité partagera le souvenir, c’est ce que vous nommerez moisson du don de Dieu. Il faut que la pensée se soumette à l’attention envers le Moi vivant qui, lui, ne demande qu’à s’expanser et à vivre l’instant.
Donnez-vous le moyen de vous transformer, afin que la naissance d’un nouveau monde puisse se placer. Permettez-vous de recomposer avec la sagesse de l’inconditionnel, afin d’être armé devant les faits. Mangez le pain, buvez le vin en communion avec tout ce qui Est, afin que le partage soit une moisson plus ajustée au Sacré.
Nous vous demandons de prendre conscience des monstruosités qui se produisent sur votre planète. Donnez-vous entièrement au moment juste de la loi. Communiez avec l’herbe de la moisson, avec la convenance naturelle des végétaux, composant pour la forme, la porte symbolique du « Je Suis vivant ! Là, dans le maintenant ! ».
Servez-vous des moyens les plus simples pour que le maintenant soit une bonne récolte, l’unique qui consent. La mort du voyageur, c’est la loi de la vie pour vous servir.
Sachez-le, la moisson fait partie du contentement physiologique, biologique pour une bonne santé.
Merci. Soyez vivant dans vos décisions.
Nous bénissons.