Sur tous les plans de conscience la lumière est l’inconscient, voyageant dans le don en communion avec le Tout puissant.
Sur les essences mariales, je suis renaissant et dans les cœurs brûlants d’intentions, je suis captivant. Tous les déroulements de la pensée réactive sont une moisson pour le genre, en jours et en nuits. Il est évident que l’amoureux consent à générer une science constructive en bonté et en moisson. Tout est question d’ordre, précipité par le cœur livré.
Je suis bouleversé par le passage de Jésus Christ sur terre, car nul ne l’a reconnu comme un Dieu juste. Jugé comme un brigand, son offrande a été au service des mouvements en innocent et en sagesse, recomposant le changement.
De mes mains jaillissent sept rayons, communion totale avec le monde juste renaissant des moissons uniques du genre. Je suis le changement pour l’avènement, mais aussi l’introduction pour la soumission, le voyageur unique de la membrane universelle de la puissance réelle. Toutes les moissons se verront telles qu’elles sont avec la mort recomposant la circonstance. Tous les mondes seront touchés par l’expérience de la rencontre dans le choix de chacun.
Solitude, indifférence, égoïsme recréeront leur forme pensée jusqu’au moment où ils reconnaîtront s’être trompé. C’est la moisson, conscience du moment, qui se révèle à l’univers de cet appel. Quand l’ouragan passera, la lumière viendra. C’est là que je me nomme pouvoir.
Le juste dans le Savoir c’est le changement, c’est la médaille qui se pose sur l’offrande du salut éternel.