Les cercles de feu de l’univers.
La louange du souvenir permet l’accès à la mort afin d’éclairer le cœur juste de la moisson. L’horizontalité est une dérive qui soumet le mouvement à une compression. La lueur d’un cœur doit s’élever à la verticale afin de rejoindre les cercles de l’incarnation et du savoir.
L’origine remonte au soleil et cette conscience dévoile le »Moi ». C’est par la voie interne des canaux du souvenir que l’on consent à vivre l’instant présent. C’est l’étude des expériences matière qui se révèle à l’attenant afin de lui apporter la réalité de ce qui Est. En voyageant au travers du temps, le »Moi » de la moisson est contenant. En se livrant il est exposé aux excès et en même temps aux bouleversements de la mort, pour les changements et les transformations.
Ainsi nous voyageons comme je l’ai dit, c’est la loi du »Je suis ». L’univers brûle dans l’inconscient du parallélépipède et là on reconnaît le feu du Don. Dans son amour infini, il démontre la »Voie ».
Tout brûle dans le souvenir.
Tout se consume dans le savoir.
Ainsi les cercles de feu reconstruisent la vie du tout infini.
Newton disait que le soleil est un pouvoir et que dans le souvenir il est savoir.