Yahvé, Marie, Jésus, Je suis.
Dans la mort la moisson est abondante, la moisson génétique du changement convertissant du Sans-Nom est amorcée dans l’offrande du sacré. L’humanité est livrée à une conscience atrophiée qu’il faut soigner et élever. Le Dieu que tu es ne sait pas qu’il est Dieu. Certes, la conscience de lumière amoureuse peut donner cette rencontre de convenance. Si tu veux voyager dans la mort pour servir la vie, tu n’auras qu’à faire un pas vers moi et tu seras guéri. Ton imagination flirte avec l’offrande divine du Je suis en la maintenant dans un mouvement de pouvoir et non d’espoir. Tout n’est qu’illusion dans ton état de don, tout n’est qu’illusion dans ta moisson, tout est malade dans le mouvement de l’amour. Je dis que ta conscience est impliquée dans une mémoire figée, ton dos est courbé, tu n’as pas encore retrouvé ta verticalité. Tu survis par les moyens de ta pensée et tu te nourris dans une dimension de difficulté, tout est maladie. La mort désigne le Je Suis pour imposer la vie. Tous les genres conscients de la moisson sont contrariés par les effets de Mère imposant à tous avènements le juste et bon.
Les mouvements se sont posés dans une qualité de vie tourmentée, les morts sont la justice amoureuse des moissons afin de réincarner la mémoire des Dieux. La moisson est le divisible d’une qualité de vie en pouvoir incessant garantissant le juste et bon et servant la loi de l’unité.
Toi, tu t’es permis en conscience de maltraiter l’exemple dans sa maturité. La manne de Yahvé a été bafouée. C’est l’heure, de voir la force volontaire de Yahvé conscient de la maturité, de descendre dans le juste pour se manifester.
Une étoile est née, elle s’est posée dans la trinité avec le regard vers votre société, elle s’est expansée et voici sa dictée :
Je me nomme lumière et paix, je suis conscient de la genèse atrophiée, je suis venue guérir ses plaies afin de lui redonner son identité. C’est au cours de cette année que son amour bienveillant va se montrer à tous les justes posés pour que tous puissent dans le souvenir entrer. Soyez dans la gravité du Je suis livré, pour édifier le juste et bon dans sa grandeur réalisée. Le coeur désespéré doit se relever et tourner ses efforts vers le Dieu vivant de la conscience de rencontre, où les aspects de la divinité seront puissants pour mourir et se réincarner.