Jésus offre Dieu au souffle des mondes, sur terre comme au ciel.

Dans cet avènement puissant, l’amour est l’édifice de Dieu qui convertit, qui soumet la vie et qui guérit. Je m’offre entièrement à cet état de conscience pour honorer la gloire de mon Père. J’ai gardé la mort dans l’immuable du « Je Suis » pour que la porte du ciel s’ouvre au mouvement adapté du juste. Dans cette mémoire je me soumets au monde des hommes pour leur démontrer que Dieu Marie est impliquée en tous vivants. Quand je meurs, dans l’exemple je suis le Sauveur. Quand je démontre l’exemple, je suis l’avènement de tous vivants. Lorsque Christ s’élève dans la matrice de la genèse, le Père est Saint dans la mort pour la vie. La moisson est une perle vivante qui est messagère pour tous les univers. Lorsque le visage de Dieu se montre à vos cieux, vous êtes l’avènement de sa ressemblance. Lorsque la mort nourrit la vie, le Maître dit oui à cette moisson.

Tu dois beaucoup réfléchir pour que ton implant se soumette à la dictée que je te fais, afin de laisser là la maladie de l’esprit pour que l’engagement envers mon sang soit toujours puissant, aimant et compatissant. La lutte du bien et du mal dans ton intériorité doit servir à te reconnaître tel que tu es. Mère est amoureuse de ton vivant et voudrait s’engager pour t’élever, mais tu la repousses constamment. Ces peurs que tu crées doivent te quitter pour que l’abondance du Je Suis puisse revenir se placer. Mes mains te porteront dans la moisson du souffle solaire, quand tu auras fait le choix de grandir en recomposant l’état naturel de la loi de mon sang. « Sans couverture j’ai froid et dans ce monde sans amour, je pleure sur vous ». Que Dieu fasse de vous des hommes forts et puissants, des hommes bons, généreux, dans l’amour d’un Père-Mère compatissant. Dans le silence de la science, la mort s’implique pour renouveler vos forces, celles de la mémoire des mondes solaires sur Terre.

Je vous bénis au nom de la sainteté, au nom du miracle qui s’accomplit. Amour, paix et harmonie.

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