Dans la rencontre des Mondes, Je Suis Jésus Christ.

Dans le linéaire Je Suis le verbe génésique. En tant que Père marial, les volutes de Mère sont l’implosion de ma réalité justifiant de la vie. Des mains tendues, des bras levés, des cris, des larmes amères, c’est pour le messager l’indice de ma réalité qui dans le majestueux de Dieu donne à vos cieux la santé.

Cher enfant, parle-moi de la vie. Dans la complaisance Je Suis le Maître qui dit « je vous ai béni, je vous ai donné la vie, aujourd’hui je suis la lumière qui brille, demain je serais la mort dans la combustion ». Tous mes élèves doivent comprendre que le juste est dans cet état merveilleux de dons. Es-tu prêt pour la moisson ? Es-tu prêt pour corriger ce temps ? Intéressé souvent, tu oublies le messager de la nuit et tu te laisses emporter par des créations néfastes où la maladie du raisonnement s’amplifie. Par ailleurs tu es tout puissant et pourtant tu renies mon sang.

L’incompréhension des monades intervient lorsque tu veux exprimer ta façon de penser. Tu tiens au raisonnement que tu fais, mais tu te détournes de la vérité. Où est ma vérité ? Dans un espace si petit que tu n’oses y entrer. Le passage vers la vacuité est une petite porte mal éclairée. Tu ne veux pas y entrer, tu préfères la porte de l’enfer où pour toi la loi de Dieu est rejetée parce que tu as peur de mourir. Qu’est-ce que la peur ? C’est un sentiment de rejet de la vie qui se crée dans un esprit désobligeant, envers Moi évidemment. Ta création est la souffrance, le mal-être, mais tu préfères ce genre de vie plutôt que de faire l’effort d’entrer dans le Moi conscient de ma réalité. Je suis pourtant très présent, mais tu n’as aucune attention. Lorsque la mort finale, la mort de ton véhicule, se posera, tu seras soumis à cette source initiatique de ta création et la peur t’étranglera. Pourquoi ne pas accepter la mort maintenant dans la liberté du choix ? Tu veux la paix dans le monde, mais te la donnes-tu ? Commencer par Soi est la plus belle explosion pour le Moi. Ne pries pas avec la peur, car je n’entends pas ce que tu dis. Donne-toi la vie, donne-toi l’amour et le verbe s’accomplira dans ta paix et ta sérénité. Dans le même Esprit tu peux témoigner, non dans des eaux tumultueuses, mais dans des eaux, calmes, claires, limpides, pour ce monde.

Dans cet état la loi impose l’explosion et la régénération cellulaire. Ainsi, tu peux recommencer. C’est là que se fait l’appel à la résurrection, quand ton Moi profond est en harmonie avec l’implosion du spectre du monde solaire qui est Marie en chaque univers.

Je meurs pour vous sauver, je meurs pour que la moisson se régénère, je meurs pour que ta vie, ta vérité, ton souffle, soient omniprésent, omniscient et omnipotent.

La rencontre avec Marie, c’est cette communion que tu rejettes en permanence. Reconnais-toi, aime la vie, sois béni.

Dans mon sang Jésus s’est lavé. Devenu Christ, il a tout donné. Dans la mort il s’est laissé glisser. Dans la vie il est ressuscité. La dixième prophétie va se montrer. La mort sera dans la force de ma volonté. Le cœur brisé je volerai vers l’humanité, je lui donnerai les ailes dorées pour qu’elle puisse voler vers le monde de la sérénité. Je voyagerai au-delà de toutes plaies et je guérirai pour offrir à Christ le bien-aimé le verbe de l’ange doré. Je mesure ces paroles, car ce sont celles de la parabole. Je codifie le Livre Saint et je convole serein vers Marie au creux de tes reins. Je Suis la loi. Je te soumets au Moi et je recueille l’exemple du portement de croix. Je voyage au-delà de ta création et je vois si ta moisson est démente. Les difficultés que tu dois surmonter sont source d’interactions avec le majestueux de Dieu. Crois-tu au feu de l’amour ? Crois-tu au monde de Marie ? Assis sur tes genoux, je suis bercé par la toute première impression qui est celle du don où les prémisses du « Je Suis » se sont soumis à la vie. Je vois dans tes yeux le mouvement inadapté de ton implant, mais je vois aussi la souffrance qui grandit. Porte à l’humanité l’amour et non son retrait ! Porte le verbe naturel de Marie, l’Éternelle !

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