Mémoire du temps.

Les années terrestres se sont écoulées,
Les vivants n’ont pas évolué.
L’homme a perdu le chemin éclairé,
Les pieds enfoncés, enseveli il est resté.
Il n’a pu inspirer et s’est étouffé.
Dans cette réalité il s’est figé,
Il n’est plus soumis à la vie.
Il ne sourit plus à Marie, mais la détruit.
L’homme s’est retiré de l’implosion
Et ne commet que des mauvaises actions.
Il attend de la Création de grands changements
En commençant par les éléments.
Il ne se remet jamais en question et détient la raison.
Conduit vers l’intérêt, il blesse son éternité.
À présent, que peut-il demander ?
Plus d’amour, plus de paix et plus de respect,
Je me suis donc retiré.
Si tu veux revenir au mouvement adapté,
Tu sais comment me retrouver.
Alors essaie !