Je suis la lumière de l’univers, je suis le passage vers le Savoir. L’univers est, dans la Présence de l’instant, une éclosion puissante de dons livrés à l’impalpable offrande de tous les instants.

Je suis Père, Fils et Esprit reconnaissant l’unité comme le pouvoir exponentiel du Savoir. Je suis Marie, note vibratoire du Soi, je suis composé d’électrons, de dons et de manifestations, je me nomme moisson vivante, expérimentant le moment de tout instant.

Voyager dans l’inconscient, c’est se retrouver dans la mort pour que la connaissance soit le vivant incarné conscient des moissons. En se réalisant, il permet à la parabole d’exister. Aime ton corps Christique dans le moment et laisse le s’exprimer. C’est ainsi que l’on reconnaît l’amour de Mère vibrant dans le linceul premier. Je vous le dis, l’exemple puissant divin est en accord parfait avec Moi. Tout n’est qu’une réalité expérimentant la nouvelle intention qui consent à fusionner dans l’instant.
As-tu remarqué que la feuille au vent tourbillonne avant de se poser ? As-tu remarqué que le Monde vivant est le Savoir incarné ? As-tu, dans la moisson, reconnu le Dieu vivant, initiateur de ce Monde ? T’es-tu donné entièrement à l’exemple manifesté ?

Je ne pense pas que le Savoir soit entré dans ta connaissance, je pense qu’il attend que tu sois prêt, afin d’intervenir dans l’aisance de la liberté. Si tu ne me vois pas, si tu ne m’entends pas, c’est parce que ton impression vivante ne s’est pas manifestée, tu n’es pas encore dans la naissance de l’état don puisque ton tourment t’a accaparé, enveloppé, comme un prisonnier désarmé devant la mort.

Je suis la porte du ciel, le maintenant de ton état réel, où je consens à t’informer. L’éclosion des moments est un Savoir régénérant qui, dans le souvenir, te permet de voyager en tant que vivant incarné dans l’exemple que je te démontre en permanence. Aveugle et sourd, le messager que tu es sombre petit à petit dans la mort sans vie. T’es-tu relié à la moisson ? Non. La Présence infinie de la divinité ne peut qu’expérimenter ce que tu veux bien lui donner. Alors, que dans cette communion l’offrande est la connaissance, tu restes figé sans t’oxygéner. Je voudrais que l’essence de la pluralité puisse se relever dans le juste activé, afin que la précarité de ta moisson puisse, en volonté, reconnaître mon sang comme le miel douceur de mon cœur, qui consent en Divin que Je Suis maintenant. Écoute et tend l’oreille ; le messager attend ta réaction. Ne sois pas indifférent au cœur de l’univers du Tout puissant, mais donne toi entièrement à la conscience du moment pour vivre et visiter le don présent de Ma volonté.

Souvenez-vous et soyez bénédictions, car c’est la loi de Christ vivant. † †

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