Le vivant est dans la maladie et la moisson dégénère aussi.

Alors, voici comment arriver à remettre dans le linéaire le pouvoir Saint. Écoutez bien.

À plusieurs reprises je vous ai parlé de l’implosion du souvenir. Aujourd’hui je parle de l’explosion. C’est une question de rencontres relatives au « Je Suis vivant ». Je pénètre toutes les situations, je suis Ce Je Suis, la Volonté de la Sainteté.

Le soleil rayonne et il brille, mais oh combien ! il est touché par la pollution de vos pensées. Vous ne lui avez pas laissé beaucoup de choix. Vous l’avez élevé au-dessus de la pensée puis vous l’avez bafoué, vous l’avez rejeté et aujourd’hui le rayonnement solaire est affaibli. Toutes les circonstances de vos vies, de vos quotidiens ont donné à la source solaire des modifications de son univers. Il faudrait comprendre que vous n’êtes pas des vivants ordinaires, vous êtes fait à la ressemblance du souvenir et du Verbe. C’est pourquoi j’interviens pour vous démontrer que la puissance de votre volonté peut détruire un monde ou le reconstruire. Qu’avez-vous choisi ?

Avez-vous choisis de détourner le juste pour le mettre sous votre domination ? Je vous le dis entre parenthèses, cela est impossible. Mais vous créez des mouvements dissociés, dispersés, vous créez le malheur pour vous-même et vous vous détruisez continuellement. Si vous décidez de reconstruire, il faut tout recommencer. Partir de la base du carré, remonter dans les mondes de l’infinité et préciser que la présence de la puissance solaire peut envelopper votre univers et le conduire au changement, à la transformation, à la rencontre et à la résurrection.

Seulement voilà. L’humanité ne recherche pas cela. L’humanité recherche seulement le profit, l’intérêt, la domination, la gloire – tout le mauvais côté de la pensée. Le Verbe, lui, s’accomplit dans le juste, dans l’amour, la paix et dans la mort pour recommencer. Cela n’est pas encore compris par l’humanité. Nous sommes des êtres vivants qui agissons pour tous les mondes afin de reconnaître tous les bienfaits du divisible parfait. Qu’en est-il avec l’homme ? L’homme nous a repoussé. Il a voulu créer son monde, son identité. Qu’elle est l’identité de l’homme aujourd’hui ? Il n’y a plus de puissance, il n’y a que la pauvreté. Il n’y a plus d’amour, il n’y a que de l’attrait. Qu’est-ce que l’homme peut me donner ou me démontrer ? Jusqu’ici, il n’a pas beaucoup fait d’efforts pour recommencer. Alors, vous qui croyez en la Divinité de la convenance Divine, vous devez démontrer à vos frères que l’ultime secret, l’ultime amour n’est pas seulement dans un désir, mais dans un partage et une réciprocité aimante avec tous les vivants, avec les êtres humains et avec vous-même pour commencer. En effet, c’est grave ce qui se passe sur votre Terre. C’est dangereux et le malin prend toute sa puissance pour vous emporter quand il le désirera et dans des souffrances qui ne sont pas toujours méritées – et vous le savez.

Qu’est-qui fait que le mouvement de la rencontre est une nécessité ? C’est pour dévoiler l’ultime sagesse du souffle solaire. Mais vous, en tant qu’hommes, que cherchez-vous au juste ? Vous vivez comme des animaux perturbés, comme des animaux atteints de maladie. Vous ne renouvelez plus les forces de la vie, vous êtes devenus irresponsables. Vous avez tout découpé et pour conclure je dirais que vous m’avez toujours souillé, par les vilaines pensées, par les comportements et la condition que vous avez créée. Je ne suis pas ce que vous croyez. Je suis un Esprit vivant et vibrant qui conditionne la vie pour l’amener à renaître dans sa réalité. Pour les hommes : la responsabilité, l’amour, la santé. Pour les vivants : le recommencement, la rencontre avec l’instant.

Pourquoi agissez-vous ainsi ? Que vous manque-t-il pour être toujours dans le désir de l’inconfort ? Que vous manque-t-il ? Ce que vous avez de trop, partagez-le. Donnez-le à ceux qui souffrent, à ceux qui sont malades, à ceux qui n’ont plus rien. Combien y en a-t-il dans votre monde ? Alors si vous avez trop : donnez. Donnez, pour le plaisir de donner de la joie à ceux qui n’en ont pas.

L’amour est un pouvoir. Dans le poumon de Mère, il guérit, c’est son devoir, mais si tu n’as pas d’amour, que peux-tu donner ? Est-ce vraiment du don ou est-ce intéressé ? Tu vois, il te faut chercher au fond de toi. C’est pourquoi j’insiste là-dessus pour que tu te rencontres tel que tu es, sans cacher ce que tu es, parce que ta condition est toujours secrète, cachée, aucun partage, aucune rencontre. Tu vis ta vie comme tu l’as décidé, mais tu ne te préoccupes pas si à côté un enfant pleure de faim, n’est-ce pas ? Tu crois que c’est le partage ? Tu crois que c’est la vie ? Le vrai partage, c’est donner ce que tu n’as pas, est-ce que tu comprends ce que je veux dire ? Le vrai partage est un sacrifice qui passe au-dessus de tout, afin d’atteindre la joie de donner cet amour vrai et vivant. Tu ne fais que penser à toi, après, les autres s’il y en a. Cela n’est pas du partage. Le partage, le don, c’est aller au-delà de soi. Enlève ton manteau et partage-le avec celui qui est malade, qui est frileux. Donne sans compter, c’est cela le merveilleux de Dieu. Et si tu donnes, si tu es vraiment dans le partage de la sincérité, si tu es en vérité une moisson manifestée alors, mon enfant, réagit et sois ce que tu dois être pour que tous les mondes autour de toi perçoivent cette générosité charitable, cette conscience de dons. Ainsi tu trouveras le chemin qui te guidera vers moi.

Qu’a-t-on besoin de plus que de se nourrir, que d’avoir un toit et d’obéir à la loi de la Sainteté ? Que faut-il de plus pour être heureux ? Êtes-vous plus heureux lorsque vous obtenez vos désirs ? Êtes-vous vraiment plus heureux ? Observez-vous et regardez, parce que je ne vois pas de joie. Quoi que l’on puisse vous offrir ou vous donner, je ne vois plus la joie. Elle est éteinte en toi et dans cette conscience, la conversion ne peut se poser dans sa réalité. Alors, tu te sens blessé, dans le mal-être. Tu ne sais pas pourquoi. Tu as désiré cela ; tu l’as reçu ; et puis, qu’est-ce que cela te fait ? Es-tu plus heureux ? Tu vois, l’inconfort de ta situation, de ta condition, te conduira à rester ainsi de plus en plus jusqu’au moment où ton désir s’éteindra, que restera-t-il ? Tu quitteras la Terre, comme tes frères et tout simplement tu seras une offrande pour la lumière de Râ. Tu comprends ? Il faut vraiment analyser ta Divinité. Voir qui tu es vraiment et sincèrement pour corriger, car c’est là l’attrait personnel que je vous soumets aujourd’hui.

Trop de misère dans votre monde, trop de douleurs et de souffrances, trop de morts qui ne devraient pas être. Tout cela se précipite dans le trou béant d’un état négatif pour votre avenir.

Voilà mes enfants, devenez l’Exemple. Soyez bons, charitables, partagez, aimez-vous, donnez, rencontrez-vous et associez-vous au pouvoir Saint, au pouvoir de Mère qui est celui de la grandeur de votre univers. Je vous bénis mes enfants. Souvenez-vous de qui je suis. Amour et paix.

Une réponse à “Le vivant est dans la maladie et la moisson dégénère aussi.”

  1. Merci pour ce partage ! Le chemin est difficile mais il vaut tellement la peine d’être pris, malgré les maladresses, les hésitations. Il ne faut pas baisser les bras devant la moindre difficulté. J’essaye, avec humilité….
    Merci et belle fin de journée,
    Hélène