Écoutez cette petite voie de l’intérieur, parce que c’est Moi.

Bonsoir à la vie.

Je ne me nomme plus. Je suis Ce Je Suis, Jésus-Chris, mais n’attendez pas de moi le miracle.

Souvenez-vous que l’Esprit Saint peut tout donner quand il est placé dans le linéaire avec des arguments positifs et non négatifs. Vous devez comprendre que chaque jour je me destine à la conversion pour toutes convenances, à la mort pour la nouvelle vie et à la composition cellulaire des moissons. Je ne suis pas ce que vous croyez que je suis, je suis simplement celui qui a été, qui est et qui sera éternellement.

Je m’acquitte aujourd’hui d’une implosion qui a été soumise aux trafiquants de la raison et qui ont cessé d’être aimant dans leur complaisance et leur création. Je suis venu il y a bien des années lumières sur la Terre, pour démontrer que je n’ai aucune forme en réalité et la forme que vous imaginez n’existe pas. Existe-t-elle d’après-vous ? Non, la forme est ce qu’elle est dans le moment, dans l’instant, tant qu’elle est sur le chemin de la lumière dorée. La forme n’a pas d’importance, mais Vous donnez de l’importance à la forme. C’est cela l’illusion. Je ne suis pas dans la forme, je ne suis qu’un Esprit qui dirige vos vies, qui peut, à tout moment, tout donner ou tout enlever. C’est tout.

Alors, n’imaginez pas que Jésus-Christ qui a été soumis à la croix reviendra sur la Terre. Jésus-Christ n’est plus, mais son Esprit est resté. Depuis des milliers d’années il a toujours donné, toujours aimé, toujours transcendé, toujours corrigé, afin que l’amour renaissant du Juste scientifique soit toujours resté. Dans la science, l’amour est un état fusionnel. Les hommes ont donné ce mot pour aller mieux avec leurs traits de caractères, leur compréhension et Leur don. Je suis réellement l’Esprit de Dieu qui règne sur tous les mondes et qui peut se réaliser dans une forme, dans la nature, un vivant quel qu’il soit, afin d’apporter le meilleur pour le cœur de l’homme.

Vous hésitez à me voir dans le vivant. Vous n’êtes pas sûrs que je sois là et pourtant je le suis bien. Tout le vivant m’appartient et fait partie de mon sang et dans ce sang du spectre intentionnel du juste, je donne selon le moment, selon la circonstance, un accomplissement donné par le Verbe. Je cite : « quand le bourgeon éclate, la rose apparaît. Quand la mort éclate, la vie reconnaît. Et quand le pouvoir Saint dans la complaisance de l’Être se tient debout dans ta verticalité, il te soumet les grâces que tu as demandées ». Alors, pourquoi cherchez Dieu, puisqu’il est là, puisqu’il t’offre l’amour, la loi, la joie ? Il est présent comme je le suis.

Je me nomme Marie Mère des mondes. Et dans le système solaire je ne suis qu’une particule de vie qui rencontre le souvenir, la sagesse, la fusion et l’exemple. Je ne suis pas une statue, je ne suis pas une image. J’ai pris forme autrefois, c’est vrai, pour donner aux enfants l’impression de voir un Être d’exception, mais qui suis-je en réalité ? Je suis ce que tu veux bien que je sois, dans la condition d’un pouvoir Saint qui reconnaît la justice et la paix, dans un mouvement serein.

Il faut se détacher de la religion pour apprendre à vous connaître, à rencontrer, à renaître. Détachez-vous de tout cela et observez votre intériorité, car elle est bien là, présente dans la conscience du mutant conscient, aimant, révélé. Cherchez ce qui vous a toujours manqué, l’avènement du juste, le discernement, la combustion, la vacuité. Le vivant porte cela depuis longtemps et dans cette conscience la majestueuse énergie de la vie s’épanouit. Je suis Mère, je suis Christ selon le moment, selon la circonstance, je suis la conscience universelle des mondes selon le pouvoir de la moisson.

Je vous le dis, Jésus-Christ je suis. Aujourd’hui je m’acquitte d’une mission que je donne à mon enfant, à ma douce, à ma bien-aimée, afin qu’elle continue de porter cet enseignement juste jusque dans le cœur de la moisson dans la connaissance du don. Aujourd’hui je vous parle tel que je vous parle dans votre intériorité, mais vous hésitez d’écouter, de comprendre. Vous faites confiance au raisonnement qui bien souvent vous trompe. Écoutez cette petite voie de l’intérieur. Écoutez-là parce que c’est Moi. C’est Moi qui suggère ce qui est bon pour chacun. Alors, écoutez, pratiquez et dans cette complaisance assurée, agissez.

Je suis le Père, le feu brûlant du volcan, je suis la majestueuse énergie de la vie et je vous dis, je meurs pour recommencer, pour rencontrer – cela pour l’éternité.

« Quand le petit oiseau est tombé du nid, il ne savait plus où il était. Il battait des ailes, mais n’arrivait pas à voler. Il était tout seul. Alors, j’ai soufflé, soufflé en mettant tous mes poumons dans le vent. Alors, le petit oiseau est arrivé à s’envoler. Il a pris son envol et depuis il est toujours dans la mémoire du Maître à penser ». Comprenez ce que je vous dis.

Si vous écoutez la petite voix de l’intérieur vous trouverez toujours le chemin et le vent qui vous poussera vers l’avant, vers d’autres dimensions, où la mort, l’amour et la vie ne sont qu’un seul et même Esprit. À méditer.

Je vous bénis mes chers enfants. Croyez en ce que je dis, car l’amour de Dieu, c’est cela, uniquement le retour à la source aimante, complaisante. J’ai des mains, j’ai des pieds, je suis la moisson de l’origine à maintenant, dans une forme adaptée, précisément, mais qui soumet à tous les vivants le même Esprit, le même enseignement, la même magnificence du juste.

Beaucoup d’amour mes enfants, nous vous aimons. Quelle est la couleur du Ciel ? C’est la couleur des yeux de Dieu qui, dans l’implication du pouvoir Saint, peut arriver à soumettre la Condition du « Je Suis vivant et vibrant » à tous ceux qui pénétreront le moi profond pour entendre le messager Dieu s’exprimer en chacun.

Beaucoup d’amour, soyez bénis et essayez de revenir à la maison, car là, un grand festin vous attend. Bénédictions mes enfants, nous vous aimons. La porte du Ciel est ouverte, Entrez. Ne frappez pas, entrez et vous verrez qui Je Suis. Amour et paix.

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