L’oracle visite votre sphère et voici ce qu’il dit au sujet de votre création.

Dans ce monde, je suis la volonté, L’Esprit donné à la convenance de l’amour Saint.

La peine de l’empathie est difficile. Dans ce mouvement, l’amour reconnaît la vie par les instincts naturels d’attraction, mort – vie. Cela ne suffit pas pour que le dérangement subtil de l’Être se montre dans les renaissances, mais aujourd’hui, le berceau de la moisson est contaminé. Cette contamination est dans le poumon de Mère une grave infection des molécules inconscientes. Il est donc important que le ventre de Mère soit soulagé pour ne pas sombrer dans les difficultés d’oxygénation.

La majestueuse énergie de la vie est soumise à des contractions minimisées ce qui engendre des explosions dans le moment présent de faible intensité vibratoire. C’est pourquoi, la complaisance du soi doit se manifester pour que la volonté du Verbe s’exerce dans la maturité naturelle du juste. Alors, la mort consciente va vous toucher et vous emporter. Si vous n’êtes pas dans le moment du recueillement, vous devenez prisonnier d’une résistance accrue des messagers dont l’implant peut à tous moments être touché par ce pouvoir.

Je suis là. Je respire votre air. Je suis l’Être vivant du pouvoir de la parabole et je dis que votre air sera contaminé et le Verbe s’éteindra étouffé. Il faut croire à la vacuité du pouvoir de Dieu parce que vous allez être tourmentés et dans l’obligation de rester dans vos maisons, parce que le pouvoir de Dieu va dans l’exemple se montrer dans ce monde. Je vous l’ai annoncé, vous allez traverser les fléaux de la moisson. Vous allez entrer dans la circonstance, ce qui va donner au moment présent des impulsions électriques de moindre qualité et les ténèbres arriveront où la mort se montrera. Des périodes très dures sont annoncées. Il serait bon que le pouvoir de Dieu soit révélé à l’implant de toutes moissons. Traverser ce désert sans amour et sans paix vous donnera de grandes leçons d’humilité et de soumission envers Mère.

Vous n’avez été dans l’implant de la générosité que de courte durée ce qui ne va pas non plus faciliter l’élaboration du nouveau projet qui est : la renaissance de l’absolu en soi. Ne cherchez pas à vouloir dominer la vacuité, car tout se terminera pour être emporté. Ce monde est malade, il est le fruit de l’intérêt, de la gloire. Il s’est lui-même étouffé par les mémoires de l’implosion dont l’avènement est celui d’une création, subtile, pour que la maladie soit ce qu’elle est aujourd’hui.

Ne comprenez-vous donc pas que la loi de Dieu, c’est vous-même qui la déchiquetez ? C’est vous qui restez dans l’instinct animal, pour vous nourrir d’un sentiment frustré de vérités. Comprenez bien que la Divinité majestueuse de Dieu est un poumon déchiré, meurtri par vos pensées. Accéder à la faveur de Dieu, c’est se soumettre à ses Cieux en respectant les lois naturelles de la sincérité et de l’honnêteté. Comment pouvez-vous changer si vous vous mentez à vous-même ? Il faut donc que la lumière des moissons soit dirigée vers Mère. L’offrande des mondes est messagère du « Je meurs pour renaître dans une nouvelle énergie » qui permettra à toutes vies de sortir de leur torpeur. Les énergies de la Terre ont augmenté et doucement elles s’élèvent vers le fruit de la paix, mais cette information n’est pas encore dans la convenance de votre implant.

Cherchez, creusez et dans la conscience de la vacuité revenez, je vous donne la main. Mes chers enfants, nous sommes dans la confession des mondes en prière pour vous aider à surmonter cette maladie qui détruit. Sauvez-vous vous-même, car bientôt les éléments des mouvements solaires vont se précipiter sur votre Terre. C’est la force des mouvements adaptés à la rigueur et à la discipline qui moissonnera dans la souffrance et dans la mort. Animez votre Esprit d’amour, de paix et de complaisance. Animez votre Esprit de bienveillance envers vous-même. Convertissez-vous. La mort doit, dans le genre du don, se soumettre, faites l’effort dans la complaisance envers vous-même, envers vos frères, envers l’implant du souvenir.

Je vous bénis mes enfants. Veillez sur ce monde en bâtisseurs de paix et en volonté, ne laissez plus passer l’intérêt, l’égoïsme, mais un amour qui se révélera au travers de la mort.

Je suis le Père Saint dans le cœur de Mère, implant généreux de Dieu pour tous les univers

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