Je suis l’épreuve volontaire de la vacuité puissante de l’Être.

Jésus, missionnaire pour la Terre, est renaissant pour le pouvoir de son sang. Il dit : « je vous bénis par le feu brûlant du volcan. Je te bénis par l’amour Divin que Je Suis ».

Jésus, dans le Verbe, s’accomplit et reconnaît aujourd’hui votre moisson dont l’implant est maladie. Je viens vous dire qu’il est nécessaire aujourd’hui dans le majestueux cœur de Dieu de voyager dans son intériorité afin d’éclairer l’exemple. La vallée sinistrée du rappel à la conscience convertissante n’est pas encore majestueuse, car nul ne prend conscience des enseignements donnés. Beaucoup traversent votre esprit, mais très peu restent. Il est donc essentiel que je renouvelle la pensée pour que l’humanité puisse rencontrer la mémoire du soi. Bien évidemment, je respecterais toujours le choix, mais je vous le dis, les temps sont présents, la mort rôde et dans cette convenance, ramasse tous les vivants malades.

Tu n’es pas présent à ce que je dis. Bien souvent tu t’évades aussi, mais quand le moment viendra, tu sauras. La moisson de l’origine est sur la base du carré. Si tu ne veux pas y entrer, tu étoufferas dans ce que tu as créé. Ne crois-tu pas qu’il soit nécessaire aujourd’hui que la mort s’éloigne, afin que la vie renaisse dans les derniers moments de ton souffle ? Rappelle-toi de ce que je te dis, car tu ne verras que l’ombre et non la lumière si tu persistes à rester dans ton enfer.

Rendre les mémoires, c’est aussi savoir reconnaître qui tu es et tu ne fais aucun effort pour cela. Tu perds ton temps dans les frivolités, mais tu ne consens jamais à entendre l’exemple mourir. Tu crois que tu es invincible. Regarde ! Regarde ton monde ! Le sentiment profond que j’ai pour vous, ne peux plus me quitter parce que je vois que la parabole est toujours piétinée. Ne te sens-tu pas coupable de subir, toujours subir, sans faire l’effort d’aller vers le pouvoir solaire pour être pardonné ? Pourquoi attendre le dernier souffle pour pleurer sur ta vie ? Pourquoi n’es-tu pas conscient dans la conscience de la vacuité ? D’où viens-tu ? Que fais-tu sur la terre, pour aller où tu dois ? Aucun effort, aucune lumière, que l’ombre qui t’enveloppe. Je ne suis pas ce que tu crois que je sois, je suis seulement en offrande pour vous sauver. Dans la moisson je suis vivant et dans ton cœur profond je suis triste et souffrant. Pourquoi m’abandonnes-tu ? Pourquoi ne me laisses-tu pas dans le verbe tout simplement, afin que tes actions soient transcendées dans le monde de la lumière ? Pourquoi m’as-tu mis de côté ? Ne suis-je pas ce que tu es, un être vivant ? Tu ignores tout de la volonté, de la lumière et de l’exemple. Tu vis comme un animal perturbé qui pleure parce qu’il n’a plus son confort, mais qui es-tu donc ? Quand la parabole de l’Être verra sa Divinité mourir, tous les bienfaits qu’elle t’aura donnés s’éteindront pour ton éternité. Sois conscient de ce que tu fais et ne laisse aucune présence te l’arracher.

Tu n’aimes pas la vie. En restant dans la survie, tu ignores qui elle est. La genèse dit : « Mère solaire est un monde particulier qui t’invite à recommencer ». Recommenceras-tu ? Verras-tu la lumière au bout du tunnel ? Le crépitement du feu de l’enfer est dans la foudre de la moisson. Veux-tu être guidé autrement ou veux-tu t’affirmer dans ton ignorance ? Quel est ton choix ? Prends conscience de ce que je te dis, car bientôt, tu sauras. La fusion exemplaire de l’univers marial est en cet instant à l’écoute de ta pensée. En es-tu dérangé ou pas ? Réfléchis ? Le souvenir attend ta réponse et ton choix avant de vous infliger une moisson manifestée par la mort ou par la vie. Saisis l’occasion, car aujourd’hui je te prends la main, peut-être que demain je te la refuserai.

Allez dans l’offrande du Sauveur. L’implant généreux de Dieu vous rencontre aujourd’hui. Amour et paix. Jésus dans le Verbe est l’univers de ta convenance.

L’amour de Mère entend et confirme la mémoire de son Fils bien-aimé – à méditer.

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