La souillure de l’Esprit est une contamination pour ce monde.

Si tu te laisses contaminer par un mouvement de maladie où la Présence n’est qu’un désir, tu seras dans l’inconscience et l’infirmité. Est-il utile de préciser que vous n’avez pas encore fait un pas dans la dévotion envers le Maître. Vous êtes toujours dans un implant de mélange avec la vérité de mon sang. Vous soulevez une mémoire, vous l’ajustez croyant votre devoir mais l’amour converge-t-il vers le point d’unité ?

Je me confronte à bien des situations de désespoir, mais je dis que lorsqu’on recommence dans un champ d’action différent et plus élevé, le désespoir n’existe pas. Il n’y a que la mort qui peut vous conduire à la vie ; il n’y a que la présence d’un implant généreux qui peut vous conduire à Dieu. C’est pourquoi j’insiste sur la rencontre des mémoires, pour que le pouvoir du soi soit purifié et entre sans être souillé dans la majestueuse énergie de la vie qui vous conduit à tout infini sans être inquiétée par le raisonnement. Plus tu réfléchiras dans ta situation étriquée, moins tu t’élèveras pour reconduire le bon fruit à la complaisance.

Il ne faut jamais prétendre à être quand on ne sait pas qui l’on est, d’où l’on vient et pourquoi vous êtes là. Si vous cherchez des explications pour vous relier à la moisson, vous dévierez toujours sur un chemin glissant où vous voguerez constamment dans l’ignorance sans raison. Le souvenir n’est pas une conversion, c’est un état dans lequel on doit plonger vivement pour comprendre et reconnaître la voie, la voie de Dieu, éclairée sur chemin de l’amour et son éternité.

Si tu me prends comme tuteur de ton cœur, je te conduirai là où il faudra. Même quand tu ne sauras pas où tu es, laisse-moi guider tes pas. Je te mettrai toujours dans la majestueuse énergie de la vie où tu te reconnaîtras très souvent comme un petit oiseau tombé du nid. Je te relèverai et te reposerai sur la feuille d’olivier et te dirais : reprends tes ailes dorées et envole-toi vers la Trinité. Je serai toujours dans tes pas, parfois je te porterai, parfois je te guiderai, jusqu’au jour où la puissance t’enveloppera dans la conscience de connaissance. Souviens-toi que la mort n’est pas une moisson qui doit vous inquiéter, mais vous réjouir seulement, car connaître est une condition des moissons de l’origine à maintenant.

Dès que le printemps arrive, la nature endormie se réveille et sans que je ne me manifeste, elle sait parfaitement comment reconduire la vie pour obtenir de bons fruits. La nature est dans une moisson de non conscience, elle se soumet simplement à ce qui Est dans l’instant, le moment et la circonstance. Mais, dans l’offrande qu’elle soumet, l’épanouissement de la vie se fait dans la maturité. Elle sait ; vous devez être au service de la loi tout simplement.

Agneau de Dieu, le buisson ardent t’a ordonné de mourir pour offrir la vie dans la Divinité de Christ. Ainsi, tu dois te dévoiler, ainsi, dans la conversion tu dois te tenir. Dans la présence du juste, conscient.

Après ce sermon, je vous bénis mes enfants. Tu dois encore, encore et encore, apprendre la moisson du messager de la vie dans l’implant du Maître à penser qui doucement doit se livrer à l’éternité.

Amour solaire de Dieu.

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