Dans la mémoire de la vie, l’étoile s’est posée. Quatre côtés en dimension parallèle voient le mouvement adapté solaire dans le point situé dans le monde du majestueux implant du verbe. Cette réalité s’impose à la lumière de la moisson pour innover le sens du Sacré dans le pouvoir solennel du juste. Cet implant, appelé au mouvement de l’implication du Soi, permet à la mort de se distinguer pour renaître à la vie. Dans cet Esprit, l’implant géométrique est un monde d’offrandes naturelles, convertissant pour le linéaire et ton sang. Je suis particulièrement touché lorsque la vie revient à Marie dans l’implosion, l’explosion et la projection. C’est ainsi que je reviens au point de la lumière linéaire pour le don. Lorsque la partie centrale du cervelet est touchée par des implants marials, l’équilibre se pose et dans cet implant l’homme reçoit l’information qui se dirige vers le centre du cerveau, ainsi se place l’implant innovant où la mort est une moisson initiatique pour se dévoiler à Marie, l’implant du Je Suis. Au cours de cette transformation, la rencontre convertit et se soumet au développement spirituel du Maître à penser. Alors, la lumière éclaire ton cerveau par l’exemple électromagnétique d’un Tout majestueux où l’avènement peut se plaire à être heureux. C’est l’origine de votre création qui a donné naissance aux impulsions mariales d’un Tout réactionnel et intentionnel. Cette mémoire justifie de la vie dont l’implant est dans la parabole du Maître, « aimez-vous comme je vous aime ».
Le soleil est marial dans l’implication des mondes. C’est l’inconscient verbal de vérité qui se place dans le monde de sainteté, le Père, le Fils et le Sacré. Dans cette moisson Je suis son reflet. C’est ici que nous communiquons pour vous soumettre la volonté de l’Esprit de paix. Cette mesure dans le carré est un édifice pour toutes moissons qui permet à la lumière majestueuse de la mort de reconstruire la vie dans la densité ou le subtil. Ainsi, nous nous reconnaissons dans la matière comme une mémoire mariale, exemple de l’offrande de Marie sur la terre comme au ciel.
Sur la place du marché, j’ai vu un homme couché. Fatigué et épuisé, il ne pouvait plus se relever. Je me suis approché, j’ai vu ses pieds marqués par la descente aux enfers, je l’ai soigné. Il a ouvert les yeux et a vu le beau ciel bleu. Agenouillé, il m’a remercié.
Qu’ai-je fait pour que sa volonté puisse revenir se poser ? Je lui ai donné le mouvement, l’action, puis la paix.
Il est reparti et dans sa simplicité, il a grandi.
Vois-tu qui Je Suis ? Le Maître, celui qui a porté la croix d’olivier pour vous faire voyager dans la paix mariale du juste. Et vous ? Qu’avez-vous fait si ce n’est que me tromper ? Incertains, dans le doute, dans l’indifférence, dans le manque de réciprocité, vous m’avez bafoué. Comme je vous le dis, le Maître est ici et il conduit le verbe à s’accomplir pour guérir, pour élever, pour consentir. La folie des hommes m’a touché, c’est pour cela que je reviens, pour la paix. L’homme est malade et doit se purifier. J’ai des mains, j’ai des pieds, j’ai un corps de chair, je suis là pour bouleverser vos univers. Maintenant, priez pour que la mémoire de Dieu soit respectée et honorée. Souvenez-vous de mon sang versé. Pour que le soleil puisse briller, donnez votre sang au mouvement de Marie. Elle se réjouira dans la lumière de Râ et élèvera votre croix. Ainsi, je vous le dis, la volonté de Dieu s’exerce aujourd’hui. Dans l’amour des mondes, Je Suis le messager pour toutes convenances sur terre comme au ciel. Souvenez-vous de ma paix, de mon sang et de sa loi.
Bénédictions.