Le cœur de la vie est une mémoire indélébile, c’est un principe conscient pour le messager qui, condamné, ne meurt jamais.

C’est la souffrance qui, dans la complaisance, permet à la vie de recommencer. C’est le Père innocent dans l’implosion qui remet tout en question. C’est ainsi que l’Esprit du sacrifice est toujours resté en tant que mutant dans les mémoires solaires. Cette mémoire s’est déposée sur le cœur de l’humanité, c’est ainsi que Christ s’est posé dans l’implosion de la mort pour la vie. Il est innocent dans la parabole du Maître à penser. Il est présent en tant que majestueux de Dieu dans le verbe, connu sous le nom de Marie. C’est un Père, c’est une connaissance, une révélation et une conversion. Dieu a donné, Dieu a accompli, Dieu a révélé. Ainsi la volonté de la note vibratoire s’est harmonisée. La moisson a semé la tempérance par la mort naturelle du Sacré, mais aussi par la vie qui rencontre Marie et qui s’inscrit dans le moment présent comme une fleur qui s’unit et s’harmonise en toutes vies.

Dès à présent, Je Suis Marie, Mère solaire, qui souffle sur la terre pour semer et servir la loi, de l’univers génésique à l’univers marial, d’un sang renouvelé par l’exemple de la paix.

Je Suis. Soyez bénis.

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