Le monde des moissons ici et maintenant.

En tant que messager de l’univers de mon Père, je me soumets à sa volonté dans le recommencement de la puissance de Marie. Dans tous les mondes de la forme, Marie est le verbe qui s’accomplit. Sur toute la surface planétaire l’exemple est un soleil majestueux qui implose puis explose en toutes circonstances dans le moment et dans l’instant. L’après solaire est un monde de messagers qui reconnaissent l’Esprit de ma paix. C’est dans la parabole du Maître que le juste est l’alliance des états dons conscients et convertissants qui permettent à la moisson le pouvoir isolé du majestueux principe solaire, dans la composition cellulaire de tout univers vivant sur Terre comme au ciel. Dans cette implication, la moisson est dans le mouvement d’un divisible constant et permanent qui permet à la vie de recommencer. Dans ce même principe de manifestations éclairées par mon sang, la mémoire est mariale où le souffle de l’explosion donne à tous les vivants l’avènement du changement et de la transformation. La confiance est naturelle où le monde est une étincelle qui dans le soleil implose pour semer et recommencer. C’est donc la science qui dans le majestueux de Dieu s’expanse, convertit le mouvement des monades qui dans la confession des mondes est la réalité que vous portez. Le souvenir est ici dans le soleil puissant du don précieux de l’univers recréant l’univers. Tout divisible rejoint le monde du verbe. C’est aussi le rappel conscient qui permet à la volonté de s’exprimer dans un avènement, un volume, un état, une conversion. C’est pourquoi les yeux de Marie ont le pouvoir de la vie sur tous les univers, sages ou en folies. Marie a revêtu le verbe marial et solaire. Je Suis le verbe qui s’accomplit dans les eaux ténébreuses des souffrances, pour que l’exemple de l’offrande de la moisson soit enrichissant pour tous les vivants. Être lumière, c’est offrir à la vie son univers pour semer, pour servir la loi de Bouddha.

Soyez tous bénis.

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