C’est en effet la parabole du Maître qui s’intensifie dans le reflet de son intention. Croire en Jésus c’est mourir. Croire en Jésus est, dans le majestueux Dieu solaire, une action, une bénédiction, une offrande, une mémoire, un souffle, l’unité. Croire en Jésus c’est semer la vérité de l’homme saint, c’est considérer le verbe puissant dans sa loi. Jésus est le nom de l’amour qui s’offre toujours. Jésus est le mutant dans sa moisson, c’est l’œuvre de Dieu impliquée dans le sang de Marie offrant au mouvement la maîtrise de la source pour toutes moissons, de l’origine à maintenant. Christ est l’homme cosmique en conscience et dans la vacuité tout se convertit. C’est sur ce terrain qu’il faut bâtir l’alliance exemplaire pour tout univers. Dans cette réalité je suis né ; dans cette rencontre Dieu est amour, c’est la mort qui relie les deux mondes pour symboliser la vie. Alors qu’il n’y a aucune implosion dans la divinité du moment, l’amour ne peut exulter la science de Marie. C’est pour cela que Jésus en Christ, dans les moissons, démontre l’amour de son infini pour tous les vivants. Où est le Bouddha qui reconnaît cette vérité ? Où est la moisson que vous détruisez en permanence ? L’homme ne peut atteindre le pont du pouvoir car il n’a plus accès à sa sainteté. Votre divisible est dans la maladie et l’explosion n’est plus accomplie. Lorsque le mouvement permettra à l’homme de se retrouver dans la loi de Dieu, il comprendra que la mémoire de Marie est le don précieux pour ses cieux. L’offrande de Marie est l’éternité dans l’iris solaire, c’est le ventre fécond qui rencontre la conversion et qui transmet l’unité. Dieu sait pourquoi la conversion est dans l’imperfection, c’est pour recommencer afin d’anoblir le verbe. Voilà pourquoi nous insistons sur la puissance du sacré qui, dans la composition cellulaire, doit se régénérer pour ne pas sombrer dans la maladie. J’entends par « passage vers la vie », une puissance dans le mouvement du juste, qui permet de se réincarner et de retrouver le chemin de la résurrection.
Que tout soit accompli comme je l’ai dit. C’est la conversion qui s’exprime aujourd’hui. Avec le souffle solaire Je Suis votre univers. Dans la vallée de l’ombre je suis la mort qui vous conduit à Marie. Composer avec le verbe, c’est nourrir la moisson de l’origine à maintenant. Avec nos bénédictions, la loi du messager dans la moisson du Père est Mère semant au travers du temps l’exigence du saint nom. Souvenez-vous de qui Je Suis. Amour, paix, harmonie, c’est l’amour du ventre qui s’accomplit. C’est la loi de la renaissance aujourd’hui. À toute la moisson, le vivant remercie. Ainsi, l’exemple de Jésus-Marie-Christ-Dieu s’est présenté à vous sous la forme d’une dictée amoureuse de la loi.
Bénédictions. Nous vous aimons.