Le verbe vacille dans le cœur de l’homme.

C’est le verbe qui implose, c’est le messager qui recompose. Dans le verbe, le souffle de l’intention est particulièrement brûlant pour honorer la conscience du Sacré dans la convenance de la moisson. Dans l’Esprit de l’offrande Dieu, l’amour est dans l’inconscient de la conversion. Il est donc nécessaire de marcher sur des sentiers épineux pour retrouver le juste en Soi et l’amour pour le Soi. La création est définie comme l’inconscient pour le messager dans la conscience du moment. C’est Marie qui, en Mère, projette l’intention et qui explose dans la rencontre du don. C’est un mécanisme présent depuis que la mort existe dans ce mouvement. Dieu n’est pas une personne suspendue qui crée, mais une science révélée à l’unité d’un Tout aimant. C’est là que nous voyageons et que nous disposons de la moisson pour exulter le bon fruit à tout instant. Dieu n’est qu’une implosion qui remet tout en question pour recommencer dans le vif du sujet son mouvement. C’est l’amour qui, dans les monades, permet à la vie de rayonner. Les hommes sont ignorants du juste et perçoivent la mort comme un handicape à la vie. C’est pourquoi j’insiste pour démontrer que la mort, qui est une transformation, est là pour gérer la vie de tout infini. Dieu n’est pas majestueux, il est ce qu’il est dans l’instant et le moment, dans un déroulement parfait entre le ciel, l’intention de l’homme et la terre. Par les rencontres, il établit les mesures à prendre pour reconnaître le ciel et la terre dans un mouvement aimant comme un monde puissant de conversions et de connaissances. Alors, l’homme renaîtra avec la vérité de Dieu, avec un sang renouvelé d’intentions. Ainsi est le verbe dans son amour infini, ainsi est l’éclosion du messager convertissant.

Je Suis ce Je Suis, un méditant de lumière pour la Terre.

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