Jésus dans le verbe est convertissant ; Jésus en offrande est aimant.

Je me nomme Père de la vie, Jésus ressuscité aujourd’hui. Dans la mort je suis vivant, dans l’amour je suis l’implosion et dans le juste je suis l’exemple. Cela indique que le messager est, dans la dévotion, l’exemple de Marie pour la moisson. Je Suis le Père convertissant, une Mère mariale et une conversion pour toutes convenances dans le manoir des vivants. Ainsi, « le Père est dans le Fils » est l’état don dans le cœur de Marie. Je suis venu pour visiter la mémoire du corps qui par indulgence du juste peut se montrer, dans le verbe marial, initiateur de ton cœur. Dans l’amour, Jésus Christ Je Suis ; dans la parabole, je prie. Le verbe attendu est ici maintenant et le cœur de la sagesse se fait rare, transformé par les manifestations de Râ. La moisson est une offrande aimante qui se guérit en démontrant l’exemple de la paix. L’amour est l’état du verbe. Le verbe est l’attenant de la moisson qui régit tous les vivants. C’est dans cette mesure percutante que la mort mariale retenue dans les griffes de la peur ne peut plus régenter la moisson du messager qui est sous un mental raisonné. Je meurs pour convertir, je meurs pour semer, je meurs pour que le souffle solaire puisse renouveler vos univers. J’ai des mains, j’ai des pieds, Je Suis le Père de toutes convenances sur terre comme au ciel où je compose la conversion de l’état don par la moisson de l’origine à maintenant.

« Ménage ta monture pour aller loin ». Je voyage dans la vérité, dans l’inconscient du vivant, mais aussi dans le cœur des messagers qui reconduisent le bon fruit à l’éternité. J’offre au ventre de Mère la conscience du don, développée maintenant.

Le Père amoureux du verbe est une mémoire à ressentir au fond de Soi pour développer l’implosion des mondes. Je voyage pour le majestueux de Dieu, dans la monade des cieux, dans l’empathie de tous les vivants, ici et maintenant. Jésus, la Moisson, est Mère de toutes ces actions.

Je vous bénis par le Maître à penser, par le monde des monades et par l’exemple de la parabole.

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