Le verbe du portement de croix est un passage vers la loi. Alors je dis : les mémoires sont ici dans la mort pour que l’offrande des moissons soit enrichissante dans le ventre majestueux de Dieu. Alors l’amour se posera, la loi mariale s’exécutera, le verbe sera l’amour de Râ. Dieu est là, Marie s’engagera à rencontrer l’exemple de la foi. C’est une offrande de l’ange doré qui implosera et soufflera sa vérité. C’est en Esprit de paix que Jésus se montrera en aîné, ainsi, le mouvement de Marie dans le monde du Sacré pourra léviter vers toutes consciences désespérées. Dieu veut que la mort du souvenir éclaire votre devenir dans la conscience de Marie. Le cœur Dieu est la lumière de la compassion qui doit se poser dans toutes vos actions. Dieu n’est plus l’imaginaire, mais le cœur de la mort renouvelant la vie en tout univers. C’est le bouleversement de la conversion qui donne à ses enfants la paix de Marie immaculée. C’est en effet le message de paix que je vous transmets pour rencontrer l’exemple affirmé. Je meurs en volonté. Oui, je meurs dans le mouvement du Sacré pour me réaliser dans le verbe exponentiel du juste révélé. Dieu est puissant, Dieu est marial en toutes créations. Je vous bénis dans le souffle de Marie. Dans cette réalité le feu brûlant du volcan est l’amour sans condition que vous devez appliquer pour recommencer dans le vif du sujet. La mort est une moisson enrichissante qui permet à la vie de s’épanouir ainsi. Les mémoires sont solaires pour tout univers. Elles sont aussi percutantes quand elles se posent dans le maintenant.
Cherche dans ta réalité, la mort est ton amie. Dieu voyage ainsi pour que le souffle de l’intention soit un sacrifice spontané. Cherche à voir dans le sang de Christ qui tu es, pour que ta forme soit ici maintenant l’immensité d’un Père majestueux, offrant son pouvoir à son enfant. Dieu veut que vous soyez tous soumis au verbe en offrande, à l’empathie, le don de Marie aimante dans la mort pour la vie. La lecture de la moisson est une étude profonde et renaissante quand le pouvoir de la mort est dans le verbe. En réalité dans son accomplissement, dans le monde marial du juste et bon, une seule pensée, un seul Esprit, aucune séparation dans le Moi profond, Dieu est solaire.
Avec nos bénédictions, nous sommes la loi de l’immensité des moissons conditionnées par le verbe aimer.