L’école de la vie est le message donné à l’humanité pour resurgir du passé. Dans le monde lumière, le jour de gloire est arrivé. Dans le cœur de Dieu-Mère tout doit recommencer. La mort est la note du pouvoir, la vie est sa conversion pour le devoir. Ainsi, nous sommes la moisson qui se révèle sans condition. Ainsi, la mort est dans la forme du mutant comme un monde puissant qui révèle mon sang. La porte du ciel est mon poumon, qui me permet d’exulter le don. Ainsi, je m’élève dans la conscience des mondes pour semer et équilibrer la forme de pensée. C’est la moisson du messager Dieu qui recompose mes cieux. C’est ainsi que j’œuvre pour louanger la puissance de la trinité. Dans le rapport aux œuvres de Dieu, je ne suis que la première cellule qui, dans le souffle de l’attenant, permet aux vivants de mourir dans le pouvoir et de ressusciter dans le devoir. Je Suis le verbe. Je me soumets à la compassion du verbe aimer où le poumon de Marie, dans le souvenir me sourit. Le soleil pour la moisson est le messager sans condition qui permet à la vacuité de recommencer sans s’arrêter, dans un mouvement perpétuel de dons. De mes mains sortent les sept rayons de Jésus dans la mort pour la vie et dans la conversion Je Suis messager pour tout infini. La volonté est, dans l’exemple de la paix, la manifestation à rechercher. C’est dans l’unité de la moisson que l’on consent au mouvement perpétuel du juste et bon. C’est dans le souvenir que la mort reconnaît son ami et c’est dans la vie qu’elle s’inscrit et s’épanouit. C’est la conscience des temps présents qui se pose maintenant, dans le royaume des monades où tout est en mouvement pour que le soleil puisse briller dans l’explosion du Maître ascensionné. Revêtez le manteau doré du mouvement associé à la vérité. Je Suis le Père mutant de tous les mondes, assurément. Le souffle des mondes est une mémoire inconditionnelle du pouvoir réel.
Soyez bénis.