Je suis le minerai du majestueux cœur de Dieu, le monde de ton sang.

S’offrir à l’amour sans condition c’est se livrer entièrement à la parabole : « aimez-vous comme je vous aime ». Si tu ne relèves pas cet état de conscience, comment peux-tu comprendre qui tu es ? Tu ne peux évoluer que si tu te reconnais dans ce linéaire parfait. C’est pourquoi j’insiste sur la monade naturelle de la moisson pour que tu puisses engendrer le même Esprit, ce trésor caché.

Es-tu conscient de ce que tu fais lorsque tu es en action dans l’acte de chair ? La sexualité est une condition d’offrande et de don. Si l’homme se soumet au désir aimant, la femme reçoit l’agrément dans le ventre fécond et implose pour soulever le moment de la reconnaissance. L’amour fusionne dans cette rencontre. C’est la volupté de ce moment accepté dans l’amour et la réciprocité qui soumet au ventre fécond la loi de la vie. Ainsi commence l’éclosion d’un état, d’un principe qui dans l’évolution de la gestation se place en offrande pour rencontrer la vie. La femme porte donc le principe viable de l’amphibien qui évolue jusqu’à la conversion totale d’un volume. La femme porte le trésor de l’infinité des mondes. La femme est la porte du ciel qui se soumet par le ventre fécond à l’univers de Marie au pouvoir illimité. Tu dois comprendre aujourd’hui que le soleil ne peut briller que lorsque l’on comprend qui l’on est. Le trésor caché de la mort pour la vie commence par l’état fusionnel d’une rencontre convertissante et aimante pour soutenir l’exemple évolutif de l’intrinsèque éclosion de l’unité dans un vase fermé, mais ouvert à l’éternité. C’est ici que je dis : Je Suis ton sang, tu es mon sang.

Maintenant, raconte-moi dans l’exemple de tout instant ton état don. Es-tu conscient que tu es Marie et que tu dois être respectée en tant que moisson renouvelée à tout instant ? Dieu veut que la femme soit respectée, car son utérus est ma vérité. Tout est écrit dans la femme qui se respecte ainsi, où toutes les valeurs de conversion sont ici et maintenant réalisées. Je le dis car le monde du pouvoir est là. Pense à mon sang dans le juste du Moi et évolue avec cette loi. Je Suis le Père de l’amour, en vérité une moisson assurée pour l’éternité. Je Suis l’offrande de Marie dans le bouleversement constant d’une vie où l’implant du souvenir s’exprime aujourd’hui.

Amour et paix, soyez bénis.

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