La mort est une offrande de mesure.

C’est en effet par le biais de la mort que la vie est éternelle. Le juste généreux de la mort est complaisant où le souvenir se plaît à recommencer. Dieu n’a pas de forme, Dieu est une loi, un processus cellulaire qui compose par la note vibratoire l’exemple de la vacuité convertissante. C’est ainsi que l’on retrouve l’explosion de l’état don qui permet le recommencement primordial, c’est la mort. C’est un dessein précis pour que la vie dans l’empathie puisse dans la conversion se retrouver dans le don. Ainsi, Jésus Christ l’a démontré par la force céleste de son Esprit vivant dans tous les vivants. Dieu a accomplis, c’est la mort qui se réjouit : « Entre tous les morts je serais le vivant ». Jésus dans la mort est la complaisance, dans l’implosion il s’est réalisé dans chaque action. L’amour en est son reflet. Dieu n’est pas ce que vous croyez, ni ce qu’on vous a enseigné ; Dieu est la loi d’un juste inconscient, c’est tout.

Dans le cœur de l’humanité Dieu est une source d’amour ou de mépris, c’est pour cela que je tiens à vous raconter la mort de Jésus Christ.
L’homme est une offrande de la source volontaire de la science-Dieu. L’homme est l’empirique d’un juste qui, dans la moisson de l’empathie, est un linéaire intelligent, mais l’homme n’est qu’une particule de vie qui s’est reconstruite par le processus Divin et qui, par l’implication du souvenir, a grandi dans l’implosion pour s’offrir à l’unité de l’état don. C’est ainsi qu’il a évolué jusqu’à maintenant. À l’époque de Jésus, les hommes étaient complètement ignorants. La rencontre avec Moi a permis à l’homme de reconnaître l’exemple, ce qui a beaucoup dérangé. Quand mon heure fut venue d’être condamné à mourir, la mort ne m’a pas effrayé autant que vous pouvez l’imaginer, mais elle m’a dérangé parce que je ne voulais pas mourir ainsi. J’ai accompli un mouvement adapté, consentant, qui m’a permis de l’accepter parce que j’ai demandé de démontrer le juste quelle que soit la façon. Quand je fus cloué, j’avais déjà donné ma vie à l’humanité, mon sang a coulé, la mort est arrivée. Dans le silence de cette conscience j’ai demandé à l’univers que mon Esprit soit source d’interactions avec tout ce qui suivra dans la puissance de l’implosion, afin que l’homme évolue vers le passage généreux de la mort en l’acceptant et en donnant le juste. Le message de l’univers étaient : « mon sang a coulé pour servir la loi de Dieu, mon nom se relèvera au-delà de toutes pensées et embrasera le juste pour se renouveler ». Et Jésus en Christ s’en est allé dans la mort de Dieu, une mort juste dans le Savoir du Maître à penser.

Je ne suis plus l’homme, mais l’Esprit Dieu qui renaît dans l’immuable composition cellulaire de tout univers. Dieu est donc une loi qui s’accomplit pour donner à l’humanité le juste de la moisson. Jésus puissant dans son élévation est une offrande permanente de dons pour le messager qui se reconnaît dans le pouvoir de la mort pour la vie.

Je vous bénis dans le mouvement de cette rencontre et je vous soumets le majestueux de Dieu qui reconnaît l’humanité comme une puissance active du levain. Jésus Christ Je Suis ; en volonté je suis la conscience Dieu et en amour, l’éternité. Le bouleversement est dans la louange d’une réalité exemplaire en tout instant.

Le Maître a parlé ; le Maître accomplit.

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