Je me nomme Puissance, Amour et Paix. Je vois dans ce cycle dernier que le règne animal est toujours présent, que la mort est rejetée et que le fruit de la vie n’est pas honoré.
Je vous salue, puissances du moment. Je vous le dis, mon nom est Marie, Mère de la volupté du juste et bon. Je suis un ventre amoureux d’un état de don actif, je suis la lumière qui vous habite, je suis le Moment, l’instant, l’éclosion, dans l’amour sans condition. Tout s’accomplit naturellement, tout est beauté, tout est don. Dans la moisson, la clé de l’innocence s’est estompées où les rencontres se sont fermées – aucune intention, aucune moisson régénérée, que de la destruction. Vous ne connaissez plus la paix, vous êtes égarés, violents, sans approche volontaire pour que la rencontre avec Dieu puisse se poser. Je suis prisonnier de vos pensées où la liberté s’est envolée où la mort est repoussée. Qu’ai-je fait pour être traité ainsi ?
Vous ne reculez devant rien et tous les mouvements sont bons pour détruire et troubler ma paix. Avez-vous réfléchis à votre devenir ? Jésus Christ est torturé et mon sang est pollué. Dans le moment de la circonstance je dis que tout va se terminer et tout sera emporté. Qu’avez-vous fait ? Puissiez-vous seulement avoir des regrets. Qui fleurit au printemps ? Quelle situation préférez-vous ? Où est votre choix ? Vous êtes malade et votre esprit très troublé ne vous permet plus de retrouver le sens du respect et de la liberté. Je suis dans la complaisance, dans la tolérance, dans l’amour sans condition et vous me cherchez toujours pour détruire mes intentions. Qu’avez-vous fait ? Le Père est dans le Fils et le Fils aimé est l’homme du souvenir qui se perd dans son devenir. Ne cherchez pas à l’extérieur de vous-même, mais dans votre intériorité et reconnaissez que vous vous êtes trompés pour que je puisse vous envelopper de mon amour dans l’implosion de tout instant. Je suis la moisson qui régénère vos vies, mais vous figez mon intention et, endormis, vous n’êtes plus dans la coordination du linéaire entre le ciel et la terre et le drame de l’implosion c’est que votre terre, votre Mère, n’est plus non plus source d’interactions avec la source solaire. Qu’avez-vous fait mes enfants ? Le ressenti de l’Être se meurt et l’amour s’éteint. Je suis navré. La porte du ciel va se fermer et l’éclosion d’un état bouleversant va se manifester. Qu’avez-vous fait mes enfants, moi qui vous aime tant ?
Avec mes bénédictions, je vous dis : mon nom sera soumis aux mémoires du passé pour servir la loi du don.
Amour et Paix.