Le Maître est solaire ; il est puissant et ne condamne jamais. Le souvenir pour tous les genres est don pour toutes moissons.

Un Maître est un Être qui possède la toute conscience pour que le souvenir puisse dans la rencontre perdurer. Il est la moisson que Dieu attend pour que le souvenir puisse dans l’implosion se retrouver en toutes actions, c’est une lueur d’espérance, c’est une majestueuse présence, mais c’est aussi la parabole qui vibre dans le moment. Un Maître est juste, il ne se soucie pas des sentiments, il est simplement encourageant pour la mort et linéaire pour la vie. C’est ainsi que doit être un Maître dans le cœur de Mère-Lumière.

Jésus Christ a été, dans la chrysalide, le papillon qui s’est soumis à la conscience de l’Être pour terminer sa vie et recommencer. Dans cette mémoire, la moisson s’est régénérée. Alors je dis : méditez la Présence de la Volonté.

Dieu est le passage à la vie ; Dieu est éternel. Dans le sommeil profond de l’Être, Dieu s’offre à la vérité de la science pour se révéler en messager de conscience. L’unité du Soi est dans le règne de la vacuité qui permet à la moisson de se régénérer. La mémoire du Sacré est en effet cette vérité de complaisance entre le ciel et la terre. Tout est donc inscrit dans le monde du linéaire où ton souvenir est Dieu, ce qui engendre des transformations, des bouleversements, qui te permettent dans l’expérience que tu fais de te reconnaître comme tel. Il y a la mort, la vie, la conversion et le souvenir. C’est ainsi que tu es dans la moisson d’origine qui doit dans l’implosion retrouver le même Esprit, la même action. Toute cette conscience des mondes de l’unité se soumet au messager aimant la complaisance et se distingue par sa science, car il n’est plus humain en vérité, il est un messager adombré par le linéaire du Parfait. Ainsi, dans votre monde, très peu d’Être humains arrivent à la Source. Nous soulevons là le problème de la conscience Dieu et nous dirons : tu es en bouleversement, mais tu n’es pas don. Tu es mémoire, mais pas souvenir. Et tu crois maîtriser le juste de ma loi ? Qui es-tu dans le règne animal ? Qui es-tu pauvre âme désorientée ? Tu prétends, mais tu n’es pas dans le mouvement de la moisson, car tu diriges toujours tes intentions vers l’intérêt, vers la gloire et la domination. Tu ne te livres pas. Tu ne te soumets pas et tu prétends acquérir ma loi. Pauvre inconscient que tu es, en agissant ainsi tu te perds et tu te détruis.

Le Maître est effacé, il est conscient de ce que tu portes et il est là dans l’humilité, dans la complaisance, à se livrer sans retour d’intérêt. Il est humble et cette mémoire est la lumière du linéaire. Toutes les volontés sont l’origine du même Esprit et c’est pourquoi dans le don tu dois être présent, sans jugement. Aimer l’essence de la conscience cellulaire, c’est consentir à vivre l’innocence, mais aussi sa vérité. C’est pourquoi très peu d’hommes sont dans la générosité de la conscience du UN. Ne te laisses pas emporter par l’illusion d’un état figé. Souviens-toi, l’homme n’est qu’un singe qu’il faut dompter et c’est l’exemple des moissons qui peut le régénérer pour l’élever et rencontrer le salut pour son éternité. Reconnais-toi dans le souvenir et consens à mourir pour voyager dans la note vibratoire du Sacré. Je meurs, je recommence, je m’élève dans la connaissance, dans la complaisance et j’entends par là la loi de l’implosion recomposant la complaisance dans le moment. Sers-toi de cette dictée pour te corriger. Jésus Christ dans la compassion te bénis.

Ainsi, je vous donne ma paix. Mon nom est Dieu, Volonté, Amour et Paix.

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