L’homme a pour habitude d’émettre des discours aléatoires, dans la souffrance, qui génèrent du passif. Il sait Oh combien la terre est malade, mais il n’obéit à aucun juste pour la servir. Bien sûr nous comprenons que la loi est régie par la loi des dominants, mais l’homme lui-même n’a-t-il pas le droit d’exposer son Droit à la vie ? Déchirée, votre planète n’émet que des vibrations affaiblies qui ne peuvent plus assurer le monde alimentaire de tout univers. Il faut réagir ! Pensez que la terre est l’univers qui vous nourrit, vous guérit, mais si elle-même est dans la maladie, plus rien ne vous sera donné et en vérité vous serez affamés. Il serait bon d’y réfléchir et de mettre un terme aux excès de vos intérêts.
Rencontrer en conscience l’Esprit de vie, c’est s’établir dans le juste, dans le respect et dans l’amour, en considérant que la terre est la mère nourricière. Si vous maltraitez la vie, l’inconscient des mondes sera soumis à la destruction et Mé ne pourra plus être exploitée. C’est pourquoi il faut agir, non converser, non juger, mais agir. C’est dans votre monde, sur terre, que Je Suis né et que je voyage aussi. Je vous demande de la respecter et de lui apporter beaucoup plus d’amour et de considération pour l’honorer et la soumettre à la source volontaire de l’Être. Ainsi, tu pourras entrer dans la vacuité et te reconnaître tel que tu es. C’est dans le principe actif de l’Être que les monades peuvent s’identifier pour éclairer le chemin, la voie. Aussi nous insistons sur le mouvement de l’après-vie pour que votre ventre reste fécond dans son éternité. Je vous le dis, dans l’offrande de la moisson Je Suis, dans le ventre de Mère Je vis. Je me nomme Dieu.
Avec beaucoup de compassion, d’amour et de paix, je vous bénis.