C’est en effet la roue de la vie, c’est dans ces rencontres que nous vous interpellons pour que le pouvoir puisse fusionner avec le Saint Sacré. Dans la mort je suis vénéré, dans la parabole je suis le don, le ventre généreux de Mère-Dieu. Les desseins projetés par le Saint Sacré sont un pouvoir pour le genre de la moisson, exécutif en lumière et en paix. Une mère et son enfant, dans le poumon du souvenir, est un mouvement répétitif. C’est ainsi que se reflète mon identité. La Mère dans la moisson consent à fusionner avec le vivant et la Moisson des moissons se réalise constamment, se livre et se soumet dans la communion de l’état don. Dans cet Esprit, ma volonté s’exerce dans la mort pour la vie, je suis la Présence infinie. Dans la convenance de l’Être je fusionne avec la conversion de l’instant et le pouvoir inné du moment, c’est par ce biais que je me révèle à l’humanité. Dieu croit en vous, Dieu croit au souvenir et, pour toutes convenances, Dieu veut croire à l’espérance.
Il est ici et maintenant une rencontre exemplaire qui est l’univers du pouvoir dans le Saint Sacré, visitant tous les mouvements, tous les horizons. J’ai vu un petit enfant qui pleurait et il m’a touché, car la candeur de son cœur était en mouvements Dieu. Je lui ai soumis le sourire de la vie, puis il est reparti. Et toi ? Tu m’as laissé là sans me regarder, tu m’as peiné, car j’ai voulu te donner une moisson qui te régénérerait, mais tu l’as refusée parce qu’ignorant tu ne savais pas qui j’étais. Alors, cherche-moi dans ton mouvement, ta vérité, ta science, pour que nous puissions nous rencontrer et nous aimer dans le respect comme je l’aurai tant désiré. Veux-tu vivre l’unité dans le ventre généreux de Mère ? Si ta volonté est d’y arriver, alors, accompli ce que je t’ai déjà donné : un monde merveilleux dans le soleil, un Père lumière qui dans le pouvoir de Mère reconnaît son univers.
Sois bénis dans ton ressenti et recommence, car c’est la Vie.