Mon corps est moisson ; mon mouvement est offrande où le messager lumière est le poumon gauche de Mère, afin que le pouvoir soit majestueux dans le cœur de Dieu.

Tous les aléas de la vie vous conduisent à voyager dans les expériences du moment pour glorifier la mémoire et soulever le principe premier et ,’offrir à Mère une moisson de communions et de conversions. Les Maîtres de l’implosion sont une fusion majestueuse, exemplaire et renouvelée pour dominer l’intérêt et son reflet, afin d’exercer le juste du souvenir. Dans l’état marial, le messager doit renouveler l’exemple du moment, pour que la majestueuse énergie de la vie s’élève dans l’état glorieux de Dieu. Les mondes lumière sont justes pour les messagers qui reconnaissent la vérité dans toute sa pluralité. C’est ainsi qu’on peut voir une moisson régénérée, exultant le même principe éthéré. Les mémoires sont ainsi posées pour que toutes convenances puissent rencontrer l’espérance. Dieu en lumière s’est posé en mouvements pour la juste pensée et révéler la conscience de l’unité. Toute l’émergence des monades du Soi lumière convergent vers l’Esprit de vie, afin d’honorer cette vérité et renouveler l’attrait des mondes, pour que le minerai de la moisson éclaire le chemin de la grande conscience éveillée par l’exemple donné. La tridimensionnalité, en offrande de moissons impliquées, se soumet à la transcendance cellulaire pour porter l’alliance de cet état au service de la multitude et des moissons. L’amour est une rencontre exultant la puissance de l’impermanence qui, sous la relativité d’un corps, peut se montrer dans des cycles de vies plus élevés. Je compose avec l’éthéré de l’Être où je rencontre l’existence d’un nouveau pouvoir exultant la puissance du Pouvoir.

Les dieux, consentant au mouvement de lévitation, prennent dans l’indivision le corps Christique, afin de donner à la moisson la lumière exigée par le don.

Beau soleil, roi de l’éveil, puissance éternelle,
reconnaît la fusion comme l’éclosion d’un mouvement en répétition,
afin d’honorer la gloire du vivant.
Nous sommes le bouleversement livré à l’innocent.

Bénédictions pour cette double intention, pour la convenance du Souverain aimant.
Bénissons, bénissons la complaisance du moment.

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