Dans l’amour du juste, la mémoire c’est la loi de Mère-Dieu.

Tout ce qui est vivant porte la parabole, mais le vivant est aussi témoin de la graine semée pour honorer la volonté, l’amour et la paix. Dans ce mouvement je suis la mémoire Dieu qui, dans la complexité de l’Être, va permettre à l’implosion de s’offrir pour renaître à la puissance de l’offrande immortelle de la Moisson. Dans ce regard Je Suis la pluralité et aussi l’espoir. Dans cette rencontre Je Suis la parabole et la moisson du vivant dans le cœur de la Trinité et je suis aussi le Messager, l’Unique. Dans ton éthéré je suis placé, dans la parole je me suis glissé et le divin m’a soumis à la source de l’implication des Êtres en convenance unique, pour que le soleil puisse briller à jamais. Dans l’amour Jésus Christ s’est élevé, dans la mort il s’est régénéré et dans la parabole il est resté. Dans le mouvement généreux du monde la lueur d’un cœur est l’exemple qui se soumet à ta vie et à son importance, c’est pourquoi Jésus-Conversion est l’unique mouvement pour servir la loi du don. Alors que les éclosions arrivent sur la terre pour que le soleil puisse amoureusement transmuter l’amour du juste dans ces états, il faut que les implosions soient lumière. Dans cette participation à la moisson de l’Unique, tu te retrouves unique. Dans la mort, l’ultime présence est dans le cœur de la vie comme un pouvoir dans l’essence de Mère. Ainsi, ce voyage que tu fais dans l’attenant matière est, dans le ventre de Mère, la même dimension que le divin a offert à la moisson de l’Unique.

Si tu reviens à tes pieds, tu reviens à la base du carré. Si tu te reconnais comme l’élément favorable pour t’élever, tu ne renonceras jamais aux mouvements de l’unité dans le linéaire du parfait. Quant à l’hexagramme du maintenant, tu y voyageras jusqu’à ce que ton Être se soumette à la vérité de Mère. Mon sang a coulé, mes lèvres ont tout donné et mon soleil t’a éclairé. Soit bénédictions pour le ventre de Mère.

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