La louange du sacré est une offrande méditée depuis de longues années, ainsi, le souvenir est posé.

Dans la mort de la communion des êtres vivants, l’inconscient est un soleil qui s’expanse pour que le souffle soit une fusion convertissante dans le changement du divisible innocent. Il est, depuis la nuit des temps, une moisson qui se répète inlassablement et qui recompose l’enfantement de ma réalité. Dans cette connaissance, l’instant est ma demeure omniprésente pour que le souvenir soit l’unité d’une mémoire de pouvoir. Il est donc intéressant que le souvenir soit l’absolue rencontre, pour offrir à la mort la grande visitation du pouvoir de la vie. Dans la grande éclosion des conversions, la moisson se régénère constamment.

Dans le cœur mémoire, l’exemple est le devoir. C’est ici que la conscience percute la magnitude solaire, afin de retourner à la Terre comme un souffle brûlant, reconnaissant la matière. C’est l’amour puissant majestueux du cœur Dieu qui permet la danse harmonieuse avec l’exemple des molécules, dans le monde du souvenir et du don. Dans la moisson exemplaire de l’univers, la parabole est unifiée au don de vacuité pour offrir au Moment, l’exemple exponentiel de la lumière divine. Tous ces caractères exemplaires des moissons en évolution me permettent de voyager dans la conversion et d’imposer au « Je Suis » la rencontre juste de la Source. C’est ici que je voyage en initié pour que le soleil puisse briller et pour que l’intention réactionnelle de l’univers soit dans l’absolu du service, en connaissance pour le Moment.

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