La mort du juste est un souvenir condescendant de la connaissance.

Dans la mort, une étoile est née. Dans la vie, elle s’est incarnée.

Toutes les mémoires cellulaires composent un juste pour la Moisson. Toutes ont une mission : retrouver, dans l’acte, l’unité. Toutes ont des défaillances, toutes doivent prendre place dans la représentation de la vie.

La Moisson est un engagement qui se perpétue dans vos éternités, c’est aussi une danse dans l’empathie de tous les instants. La renaissance est une réalité à ne pas négliger, c’est un pouvoir à élever afin de ne jamais sombrer dans le mal. Ainsi, le moment présent doit soulever la concrétisation du don et lui permettre de communier avec l’inconscient qui, lui, doit se réveiller par les bouleversements adaptés à l’instant.

C’est dans la connaissance que l’on peut retrouver son aisance et son développement spirituel que l’on considère comme un poumon précieux du soleil aimant. Toutes les rencontres sont couvertes de mon sang et toutes ont une source de mouvements à révéler à l’instant. Pour témoigner de la charge d’électrons, il faut que le souvenir soit présent dans le pouvoir du Soi et que la mémoire solaire se révèle entièrement à votre univers. C’est par ce bouleversement concret que la mort pourra s’identifier à l’ivresse de votre sacré et démontrer le chemin de la conversion.

Soyez maintenant une bonne moisson, car l’Esprit de vie dans l’incommensurable juste et bon vous soumet des vibrations plus élevées pour vous unir dans le passé et le Présent.

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