Le moment présent est l’accueil de la rédemption pour élever tous les justes vers le bon. L’offrande du Maître présidera, dans la mort, à l’exponentiel du point jusqu’aux rencontres assoiffées de pouvoir éternel. La Moisson est un mouvement décuplé du juste qui recrée le juste pour honorer le Juste. C’est là l’œuvre d’une offrande immatérielle et puissante dans l’acte et le don. Je vous le dis, la masse gélatineuse de votre cerveau est une conscience captive d’un monde dissocié dans l’espace de votre vérité. Ceci relève de l’intention pour toutes créations.
Lorsque l’homme se rapprochera de l’être intérieur, il se reconnaîtra dans un cœur élevant le pouvoir au firmament, un cœur bouleversé par le passé, un cœur brisé dans la mauvaise pensée.
La Moisson de l’unique, c’est l’ivresse du ventre de Mère dans la conversion de tous les instants. Les hommes franchiront les chemins les plus étroits de leur existence pour offrir à la vie le potentiel agrégé du juste pouvoir mentionné.
Sur le lobe de l’oreille, je me suis posé afin d’essayer de vous aider, mais votre surdité est si mal consolidée par votre pensée que je ne peux que me répéter en m’infiltrant dans votre intériorité. C’est dans l’axe du potentiel de votre verticalité que je recompose un état plus léger d’amour et de paix où je concrétise en Esprit, l’amour et sa beauté.
Tout ce que j’ai mentionné jusqu’ici est mon regard sur vos vies. J’ai voulu vous convertir, mais, sourds, vous m’avez renvoyé. C’est pour cela que j’ai pris chair et que je veux témoigner dans l’amour de Marie. Je suis arrivé à maturité et maintenant je consens à mourir pour la paix.
Avec le cœur souffrant, je vous le dis, dans mes bénédictions, Je Suis vivant.