Lorsque les flocons de neige tombent, la mort devient une décision.
Lorsque le fruit de la vie est maintenu dans le moment frisson de la mort, la rencontre est une offrande.
Lorsque l’éloge du sacré est renaissant, la moisson est un Savoir.

Toutes mes dictées sont dans la décision du recommencement pour mourir et servir la loi. Lorsqu’une fleur se meurt, le don puissant dans l’impression du moment exige une nouvelle création. Ainsi, tout se soumet à l’originelle pensée pour l’immensité juste du devoir. La mort n’est qu’une fleur épanouie, exemplaire pour les univers.

Nous sommes pénétrants, conditionnés pour créer, nous sommes le maintien des moissons qui se régénèrent naturellement en Dieu vivant et régénérant. Je dis : la mort est l’amie de la vie.

Au nom de Christ (conscience lumière) les monades inspirées sont la création d’une volonté expérimentant la moisson interdépendante des Mondes. Le pouvoir inconditionnel est la moisson de l’état don dans l’impression d’une alchimie vivante de tous les instants. Toute mon œuvre est basée sur la mort, afin de servir la loi de la vie. Ne la rejetez plus, mais acceptez la dans le naturel qui est là. La mort des monades est le souvenir répété de l’exigence de toutes moissons oeuvrant pour le changement. Visiter la mort c’est consentir à offrir à la vie un maintenant qui sourit.

Nous vous bénissons, soyez amis.

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