Lorsque je suis arrivé dans le déluge de la force du divin, dans la mort pour la vie, je me suis placé dans le ventre de Mère aimante et compatissante. Je suis venu imposer la loi du souffle inconscient, afin d’atteindre le juste et bon. C’est dans cette mémoire que l’inspiration de la monade s’est soumise aux rencontres, pour se dévoiler dans la grisante énergie de la vie. Ainsi, je me nomme la mort juste, transformation dans laquelle la Moisson de la moisson est pour l’impression d’une création renouvelée la transcendance de l’impression vivante de l’incarné, afin de semer et de recommencer. Dans la monade de la mort, l’exemple est une régularité dans le souvenir de la parabole, conscient de l’univers de Mère, juste et bonne. Les présents de son offrande sont livrés par l’esprit de ma paix, car l’harmonie s’y est déposée. C’est dans les Mondes imposés par la loi que la moisson compose dans le ventre de Mère une application régénérante et soumet le changement au mouvement adapté de l’instant. « La myrrhe déposée sur mes pieds est un souvenir à ne pas oublier ». C’est le dessein de la conversion qui unit l’offrande du juste à l’incandescence du feu de l’amour, ainsi, je me nomme l’Univers de Dieu.
L’horloge du temps est une moisson à reconnaître dans mon sang où le pouvoir de la mort est une réalité qui, au service du Savoir, se soumet à l’inconscient de la moisson du juste et bon. Porter l’évidence d’une création, c’est se convertir dans un mouvement aimant le juste. Pour les siècles des siècles, mon sang coulera et mon sang régénérera par la mort l’inconscient de la divinité Christ, pour vous rappeler que le Savoir est une réalité de tous les instants.
Beaucoup de lumières majestueuses pour la monade du juste et bon, ainsi, je vous bénis. Amen.