La mémoire est l’univers du Savoir.
La mémoire est la mort fusionnelle du soleil majestueux du cœur de Dieu. Ainsi, je dis ! la monade est la mort juste en toutes moissons, pour servir la loi de l’unité, mais elle est aussi vivifiante lorsque son essence est honorée et considérée. Ma science est l’unité recomposant la même énergie du moment, mais je dois dire que la monade est le souffle du juste, c’est l’équilibre de toutes convenances, le souvenir de l’inconscient qui s’expanse, pour offrir à la mort son consentement, celui des mémoires dans la connaissance de toutes semences.
L’intelligence des moissons amoureuses est le don émergeant du juste et bon. Lorsque la plénitude du cœur véritable s’expanse dans le divisible, l’incommensurable est livré au Moi, le UN, qui reprend son odeur, son conscient, pour recommencer dans une autre direction où la connaissance est affinée par l’Être Dieu qui, lui, guérit la source, pour semer dans la maturité, la conversion puissante de l’instant.
J’ai volé, j’ai rencontré, j’ai donné et dans la connaissance je me suis, en toutes moissons, divisé pour servir la loi juste de l’expérience. La moisson est un mouvement permanent d’actions, de dons, et en tant que messager de l’univers de mes aînés, j’accomplis pour que la monade réagisse à l’énergie renouvelée de la conscience renaissante.
Pour terminer, je vous dirais en toute simplicité que la loi dans l’ouverture du sacré, c’est aimer sans jamais se retourner, en exultant le juste et bon par l’exemple de la mort pour la vie, par la sagesse infinie et par l’esprit que je suis.
Bénédictions sur vos actions et votre chemin de vie, qui doit s’anoblir avec les nouvelles énergies. La monade est dans le fleuve tranquille de l’univers, centré dans l’espace de ta vérité. Mon souffle est vivant.