La Présence du « Je Suis » est la mort instantanée de l’être dans son état illusoire, pour son devoir.

Mon sang a coulé et mon esprit s’est livré. Le juste a consenti et la mémoire a dit oui. Dans l’inconscient du maintenant, le rôle de la trinité est, pour la forme, la volonté. Alors, je me suis glissé et j’ai cueilli le bon fruit de la vie en me soumettant à Marie, à la monade initiatrice de la mort pour la vie.

Mes pieds ont été torturés et la vague impression du « Je Suis » s’est élevée, je me suis laissé porté par le mouvement de l’être incarné et la monade de la mort m’a enveloppé. Dans ce divisible, j’ai laissé mon esprit en don, mais aussi engendrant la mémoire, afin de lui redonner l’espoir de renaître dans l’accomplissement du devoir. C’est cette décision que j’ai prise sur la croix d’olivier. Je ne me sentais pas coupable d’avoir donné, mais piégé par l’homme et son ignorance. Finalement, je dirais que je ne vous ai jamais quittés.

Sur un plan plus élevé, je me suis posé, afin d’éterniser le verbe Aimer.

Selon la moisson je recommence. Dans votre illusion, je reste toujours dans l’action. Maintenant que vous avez compris, la croix d’olivier n’était pas l’expiation, mais le renouveau espéré, afin d’accomplir et d’ensemencer dans le cœur joli de Mère, missionnaire pour tout univers. Aujourd’hui, je reviens pour l’ancrage des monades et pour le don cohabitant avec l’esprit de la sagesse.

La mort est juste et innée dans la parabole du sacré. C’est la volonté qui portera la moisson impliquée de la mort pour la vie. Dans cette convenance, j’ai ensemencé le juste pour que la clarté du moment soit élevée dans le divisible parfait. Toutes les monades, aujourd’hui, se mettent en mouvement pour que le soleil de l’unité guérisse de ses plaies où la conversion sera spontanée selon la composition de ta pensée. Auparavant, je t’aurais dit : la source est composée dans l’univers de Mère par le biais de mon sang. Aujourd’hui, je te dis : convertis-toi et reviens à la véritable foi parce que c’est là que se trouve le moment puissant du Maître. C’est dans la composition cellulaire que l’univers se livre à la monade Dieu. Il est bien entendu dans la clarté du juste une moisson de conscience qui, dans la monade, reflète mon miroir impressionnant dans l’éclosion du moment. La monade est désignée pour offrir au ventre de Mère, l’insémination de l’être, corroborant avec l’esprit unique de la mémoire juste. Ainsi, on peut remarquer que la moisson est une denrée rare dans l’exécution du Savoir. Limitée par sa connaissance, l’humanité est malade d’ignorance. Alors, recommencer serait prudent pour la volonté qui veut consentir à aimer sans condition toutes les essences de son reflet, en mutant. Retrouve-moi dans le juste du choix.

Je suis le messager de la vie.

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