Dans la mémoire de l’incarné, la mort est une réalité du divisible qui doit, non seulement être acceptée, mais pratiqué. Toutes les voies du sacré sont une essence de mort qui ne condamne pas à disparaître, mais qui transcende dans l’expérience matière pour servir la loi juste du Pouvoir. Ainsi, nous développons la mémoire pour la descendance qui, elle, doit démontrer cet exemple dans son développement spirituel envers toutes moissons.

Dans cet esprit vivant, les modifications cellulaires se régénèrent et meurent dans l’application du devoir sacré, afin de savourer l’éclosion du renouveau permanent et constant. Dans l’unité, je suis vivant ; dans la mort de la moisson, je suis le don ; manifesté dans le souffle solaire, je suis l’univers.

Lorsque l’on est conditionné par une parole inversée, le système électromagnétique enregistre cette pensée. C’est alors qu’il faut accepter de traverser la membrane de l’égo pour se pardonner et pardonner. Ainsi, la quiétude vient s’installer et tu peux te permettre de servir la loi comme je l’ai fait. Ainsi, mes mains secourront tous les désespérés et toutes les lois du sacré seront renouvelées.

Je suis le soleil vivant de l’incarné et je me soumets à la mort pour la vie. Si tu sais t’aimer et te considérer, dans l’humilité évidemment, tu peux te permettre, dans l’amour de Circos, d’être dans la sérénité du pouvoir aimant et compatissant.

Je dirais : tends vers l’humilité, car dans le changement tu trouveras sous tes pieds un sol fertile recomposant je juste et bon.

Avec mes bénédictions, je vous donne ma paix.

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