Sur le plan de la sagesse, une convenance s’est posée pour unifier le juste de Père en Mère.

L’ivresse de cet état a permis au mouvement du Savoir de se charger d’électrons dans l’essence puissante de la source solaire. Alors que nous avons établi des contacts réguliers, la prise de conscience, doucement, s’est placée. La mort a été invitée à se manifester pour redonner à l’éclat de l’unité, le bouleversement servant la loi du don.

Les monades de l’impression vivante de la mort ont allié un ensemble de puissances qui ont conçu la vie en innocence dans le « Je suis lumière et paix ». Ainsi, nous nous reposons sur le principe de la mort pour semer la vie. Tout est une question de mots qui permettent à l’humanité de reconnaître que le bon fruit, c’est l’ultime de la sagesse en constante évolution vers le don.

Lorsque les hommes se sont soumis à la purification du sacré, l’exemple s’est montré dans la capacité du pouvoir révélé au Soi vivant et incarné. Les éléments se sont accordés à l’innocent qui voyageait et, dans la porte du ciel, sont entrés pour se livrer totalement à ce qui Est. Ainsi, l’explication de la conversion est l’offrande merveilleuse d’un Tout puissant qui permet un va-et-vient interpénétrant, afin de servir la loi juste de l’univers. C’est la convenance du Tout qui offre une conversion bouleversante dans la mort pour la vie.

Dieu vous a créé pour régénérer sa vérité.

C’est la monade de l’Être qui permet au sacrifice temporaire de recomposer en connaissance le bon fruit, témoin de la liberté et c’est dans le ventre de Mère que l’on rencontre le changement constant de l’éphéméride du moment. Dans cette offrande, je me nomme « Conscience ». C’est Moi, l’initié qui me soumet à tout ce qui Est et c’est dans la traduction du livre des Mondes que la puissance s’est révélée au don précieux de l’univers en perpétuel mouvement, reliant le ciel à la terre. Toutes les mémoires réagissent à l’incandescent que Je Suis, dans l’unité exemplaire de la triade.

Nous entamons, dans le souvenir, l’éclosion du devenir et nous constatons que le pouvoir est imposé par votre pensée et votre comportement, selon la convenance, qui offre ce qui lui plaît. Nous ne pouvons contrôler le mécanisme de la pensée. Bien souvent, nous nous questionnons à votre sujet, car vous êtes surprenants dans vos actions et vos réactions. Toutes les énergies construisent la vie et vous, vous vous coupez de ce souffle créateur. C’est dans cette mémoire qu’il faut chercher ce qui vous manque pour que l’expression soit juste.

Je dis : le soleil est une moisson abondante envers toutes vies et vous l’avez négligé. En tant que maître initié, vous portez toujours la croix d’olivier. Mon esprit s’en est éloigné et vous, vous figez et adorez la souffrance. A quoi vous attendez-vous dans cet esprit de maladie ? Concentrez-vous sur l’esprit naturel des moissons et soyez-en digne maintenant, car mon sang a coulé pour vous donner l’exemple de l’amour, de la paix et du pardon. Soyez conscient que l’univers s’établit dans le cœur de Mère comme une puissance unique, aimante et compatissante. Et toi, que me donnes-tu aujourd’hui ? Le souvenir de Mère est dans la moisson où toutes semences sont soumises au vent, à la pluie, aux éléments. Et toi, te soumets-tu à la mort pour la vie ? As-tu compris l’existentiel du « Je Suis » ? Votre Mère est le nid douillet dans lequel je me suis posé pour la féconder. Et toi, as-tu fécondé ton ventre pour une belle moisson ? Tu es venu au monde en innocent, dépouillé de tout et tu repartiras dans la nudité de ta création qui n’a jamais consenti au soleil puissant de l’incarné pour vibrer en tout ce qui Est. Tu t’es laissé aller à la modification cellulaire sans comprendre ton univers. Qui es-tu, toi qui lis cette dictée ? Va plus loin que le bout de ton nez et espère une moisson abondante dans l’instant.

Lorsque les blés se soumettent au vent, il faut savoir qu’il sème encore plus loin les semailles du printemps. Tu ne connais pas le vent, tu ne reconnais pas la pluie comme une amie, tu as refoulé les éléments de ta vie et aujourd’hui, tu n’es plus dans l’harmonie. Consens à semer la loi juste de l’évolution et tu te reconnaîtras comme l’élément primordial de la lumière de Râ, où le Savoir te dictera, dans le moment, la juste pensée.

Nous remercions, avec nos bénédictions.

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