Je suis lumière pour la paix ; je suis Marie pour élever ; je suis le cœur de la trinité pour semer. Je suis l’esprit du Moi qui convertit dans le souvenir de la croix. Je suis le don précieux de la moisson qui consent au moment. Agenouillé, je regarde tes yeux qui unifient la mort à la vie et qui sèment le pouvoir du choix, afin d’accéder au don renaissant du missionnaire, consentant à la lumière du juste et bon.
La lueur d’un cœur est, pour l’avatar, une jolie fleur qui s’épanouit dans la mort pour la vie. La loi, c’est mon choix ; le Moi, mon Soi ; ma conversion, mon sentiment et mes monades, sa réalisation.
Je suis le UN.
L’ivresse de tes pas me conduit au trépas et dans le Savoir tu es toujours là. Merci de m’accompagner au don de la loi pour que je recommence l’édifice de la foi. Mon sang a coulé en Jésus souvenir, je suis l’empathie.