Je suis le moment. Je suis la conscience de l’Être. Je suis la monade du Sacré. Je me nomme lumière et paix. Dans la moisson, l’inconditionnelle Présence et puissance sont l’ivresse de la mort pour la vie. Je suis manifesté par les offrandes naturelles de tout ce qui Est.

Je suis engagé pour servir la loi de l’unité. Ainsi, je me dévoile à vos intentions pour que vos convenances dans le Savoir puissent être conditionnées par l’éclosion de nouvelles monades qui, elles, reconduisent le juste à la paix. Par l’incertitude de vos mouvements saccadés, la compréhension n’a pas été et je suis resté sur la croix d’olivier. Les printemps se sont succédés, mais le Savoir a été oublié. Je suis Christ, la moisson, la mort, le minerai doré, je suis le moment de la libération, le souvenir pour votre temps et l’exemple affirmé du « Je Suis vivant ».

Dans l’exemple existentiel de l’intemporel, je me nomme volonté. Nous voyageons dans l’exemple du Savoir pour vous unifier au UN pour commencer et au TROIS pour terminer. Lorsque la grisante énergie de la vie touche ton infini, le changement se fait par la mort qui, elle, consent à léviter pour témoigner d’un bouleversement consentant du divisible de vos convenances, afin de rester dans l’ivresse d’un seul état sans pouvoir s’en échapper. La déité peut parfois dévier lorsqu’elle est comprimée dans le manque d’associations révélées. Toutes les moissons doivent être colorées, afin que la lumière solaire puisse se montrer.

Existe-t-il une moisson qui voudrait recommencer ?
Confiez-moi vos secrets et je vous donnerais la juste pensée, conscience de l’éternité.
Je veux me renouveler, La question est : Veux-tu me donner la recette de ton envolée vers l’esprit de ma paix ?
La tempête de l’esprit est souvent le choix que tu fais. Veux-tu abandonner la conscience du juste sans te retourner sur le Savoir ? C’est une question à se poser.
Tu sais parfaitement bien, que le Tout puissant est l’interpénétrant qui te permet d’être vivant. Cherche ta réalité, elle est souvent plus éloignée que tu ne veux le penser.

Je voyage pour semer et pour vous révéler au sacré de ma vérité. La moisson est la fusion d’une réalité avec l’éclosion d’un état de grâce permanent qui relève le don, afin que sa vie soit construite pour de meilleures pensées. Toi qui es ici dans le pouvoir de l’impression vivante du Moi, n’as-tu pas l’impression, bien souvent, de rester limité dans ton raisonnement ? Je suis sûr que tes mains, dans les rencontres, sont moites. Ce manque de confiance qui guide tes pas est une blessure pour la volonté. Un mouvement qui se relâche est souvent situé dans un moment désespéré. Prends conscience que le désir et la volonté ne font pas bon ménage. Décide ! Ose ! Pour que ta composition cellulaire puisse s’affirmer en Père, en toutes moissons. N’hésite jamais à poser un pied devant pour que ta convenance soit le reflet de mon identité. J’ai servi la vie, j’ai donné à tout infini et je consens à me livrer pour semer la paix. Êtes- vous conscient de la mort ? Êtes-vous don ?

Ta mémoire ne dort jamais, elle se place dans la semence et vous invite à voyager. Le sommeil du moment, que je nommerai mort, peut vous conduire dans une moisson prématurée de l’état don. Cela signifie qu’une perception momentanée peut vous révéler l’indice d’un état où la monade peut expérimenter un mariage fusionnel dans l’instant, ce qui vous conduit au rêve qui, dans le moment, vous donne, vous soumet une incarnation future ou passée. Ce rappel ne doit pas être négligé. Les réminiscences sont imposées pour que le moment puisse se transformer en réalité, vous ne dormez pas comme vous l’entendez, mais vous vivez les mémoires subjectives du passé ou du présent. Nous considérons que la monade est dans l’action de l’univers et qu’elle ne peut semer que l’exemple de l’univers. Alors, le sommeil est-il une règle à observer ? Une nécessité à appliquer ? Ou la réalité du ventre de Mère nature qui, elle, se laisse porter par les saisons et les éléments en construisant un parcours de convenances sans question ?
A vous de comprendre ce que vous représentez dans l’évolution de la mort pour la vie.

« Dieu » a conçu l’empirique d’un univers et la volonté de l’être vivant a posé une réalité qui, dans le pouvoir, est la conscience de l’univers. L’univers du grand Tout qui crée l’univers de ma vie sur terre. Le bouleversement est le Savoir interpénétrant de l’Être qui consent à servir le noyau initiatique de la mort pour la vie et là, je dis, l’ADN est la pré-conscience de la lumière qui permet un développement cellulaire en tout ce qui est vivant. Je ne suis que l’esprit de la communion de l’état don et je voyage dans le souffle solaire pour exprimer mon univers.

Mon nom est Moi. Que ma paix et mes bénédictions puissent œuvrer dans vos actions.

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