La divinité Christ est juste le moment. C’est la volonté d’une mémoire affirmée en tout ce qui Est, mais c’est aussi le Savoir, l’intelligence Divine.

« Quand l’ouragan est passé, la semence renaît » Lorsque l’offrande des Mondes s’est placée, le juste s’est effacé. C’est alors que l’empire des moissons a dégénéré.
Je me suis livré à la voie pour retrouver l’inconscient de mon choix, j’ai émis dans tout avènement une vibration qui, tout naturellement, s’est placée dans le moment. Cette vibration a consenti à se livrer à la mort pour la vie, afin d’exécuter sa moisson. Toutes les formes se sont soumises, afin de recommencer pour offrir ce qui leur avait été donné. L’humanité a tout négligé et s’est réfugiée dans la mémoire du passé. J’ai ouvert la porte aux incrédules, j’ai démontré que le ventre de Mère servait la loi juste, mais on m’a sacrifié. Posé sur la croix d’olivier, j’ai consenti à vous pardonner pour que vous preniez conscience de la mort et recommencer à vibrer dans l’unité. Depuis ces longues années, passées à vous observer, je n’ai pas rencontré la vérité que j’ai donnée. Souvent mal interprété, l’intelligence s’est figée dans la romance du passé. La plus ahurissante des vérités, c’est que l’humanité, rassurée, ne veut plus se transformer. Alors, je dis : le voyageur de mon cœur est arrivé, il s’est placée dans mon unité et s’est révélé à l’action oubliée, afin de bouleverser la forme endormie pour renaître à la moisson comme une science vie remarquée par les savants. Toutes les mémoires se sont avancées et l’esprit de ma paix s’est présenté à nouveau.

Dans le ventre de Mère, je suis présent ; dans l’intelligence, je suis la mort et dans l’instantané, le Savoir. Je suis Père en Mère, en Fils pour le Savoir, en Esprit pour le souvenir. La création du genre que vous avez est simplement une forme adaptée du moment, mais dans cette forme, n’y a-t-il pas ce dont je viens de parler ? La transformation n’est pas terminée, la moisson doit se révéler pour entreprendre le grand voyage vers la paix. Tu es en difficulté ? Regarde tes pieds ! Purifie les avant d’entrer dans le juste de ma vérité et consens au moment puissant de l’incarné vivant, juste et bon.

Te soumettre à la vie ne doit pas être interprété comme tu le ressens ; rien ne veut dominer. Tu dois simplement accepter l’offrande juste de l’instant et te déterminer dans le choix que tu fais, pour accomplir dans le moment de la forme, la conversion affirmée par la mort pour la vie. Ne me déteste pas comme tu le fais, lorsque tout va mal, tu dis que c’est Moi. En es-tu bien sûr ?

Je pense que le changement de ta pensée doit vibrer dans le Tout puissant pour que tu ne sois plus désespéré, ni inquiet. C’est toi et toi seul qui fait ton choix. Ne m’accuse plus pour tes maux, mais regarde toi dans le miroir de ma ressemblance ; peut-être trouveras-tu la réponse.
Si tu observes le moment avec la capacité de le comprendre, tu me reconnaîtras dans l’instant, dans la parabole donnée à ce monde.

Mon Nom est Christ. Avec les bénédictions, dans la corolle de la rose, le souvenir s’assoie pour que Marie te conduise à la voie.
Je vous bénis dans le maintenant où le Savoir porte la paix à tout ce qui Est.

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