Dans l’arbre de vie, je suis ; dans la mort, je vis ; dans l’hexagone du pouvoir, je grandis. Le compte à rebours a commencé ; l’exemple voit, entends et consent.
As-tu pris le temps de boire le vin, de manger le pain dans le moment puissant de l’intention ?
As-tu pris le temps de mourir, pour vivre dans l’instant ?
As-tu reconnu l’exemple du salut, pour approuver le partage de la note vibratoire dans la loi du Moi ?
Tu dois élever le singe que tu es, pour qu’il puisse s’exécuter en tant qu’être vivant intelligent dans tous les moments de la moisson. Pour que le pouvoir de la loi juste soit dans l’unité du Moi, il faut que la pensée puisse se transformer et prendre l’exiguë du point dans son expansion. Il faut faire, dans la moisson, le pas en avant que tu n’oses démontrer par peur du jugement. Il faut que la convenance de l’être serve la mort, pour que l’esprit de vie puisse sourire à vos infinis.

Je ne suis pas particulièrement sur la base du carré, je suis la verticalité de l’unité juste du haut et du bas. C’est dans cette disposition que je voyage et que j’exige de chacun le changement.
Voulez-vous m’épouser ?
Voulez-vous m’accorder la danse de la nouveauté ?
Voulez-vous jouer avec Moi, pour que la composition cellulaire puisse se renouveler ?
Prenez le temps de vous recréer et d’acquérir, dans le moment, la lumière qui vous éclaire et qui œuvre dans la liberté du pouvoir absolu.
Avec mes bénédictions, que le souvenir juste Soit.

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